Brassempouy — Wikipédia

Brassempouy
Brassempouy
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Coteaux et Vallées des Luys
Maire
Mandat
Dominique Toulouse
2020-2026
Code postal 40330
Code commune 40054
Démographie
Population
municipale
267 hab. (2021 en diminution de 1,84 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 58″ nord, 0° 41′ 37″ ouest
Altitude Min. 35 m
Max. 131 m
Superficie 10,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Hagetmau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coteau de Chalosse
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Brassempouy
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Brassempouy
Liens
Site web Site officiel du village de Brassempouy

Brassempouy (prononcé /brasɛ̃'puj/[1], et en gascon : Brassempoi prononcé /brasəm'puj/[2]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Comptant un peu moins de 300 habitants, elle est principalement connue pour les trouvailles archéologiques qui y ont été faites, en particulier la célèbre « Dame de Brassempouy ».

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de Chalosse située entre Mont-de-Marsan et Orthez, à environ dix kilomètres au sud-ouest d'Hagetmau.

Du point de vue de son organisation historique, le village est apparenté aux bastides-rues.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Amou, Bergouey, Cazalis, Gaujacq, Nassiet et Saint-Cricq-Chalosse.

Communes limitrophes de Brassempouy[3]
Bergouey Saint-Cricq-Chalosse
Gaujacq Brassempouy Cazalis
Amou Nassiet

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Principaux écarts : Labarraque, la Gare.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière le Luy de France marque la limite entre Brassempouy et Amou. D'autres ruisseaux délimitent approximativement la commune : le ruisseau de Pouy à l'ouest, le ruisseau des Saougues à l'est et le ruisseau de Cazalis au sud[3].

Le nord-ouest de la commune est formé d'une langue de terre dite Landes des Herrères. Au sud, on trouve une lande dite la Barthe de Larribère[3].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées atlantiques »0[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 149 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Urgons à 20,24 km à vol d'oiseau[7], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 009,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brassempouy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Hagetmau, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,1 %), zones agricoles hétérogènes (35,5 %), forêts (23 %), zones urbanisées (2,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Brassempouy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1999, 2009 et 2018[19],[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brassempouy.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 156 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 120 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La dame de Brassempouy découverte en 1894.

.

Histoire[modifier | modifier le code]

Brassempouy vient du mot latin devenu gascon, Brachipodio, podium de Brassenx[23].

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Ce petit village de la Chalosse est devenu célèbre grâce à la découverte en 1890 de vestiges préhistoriques dans des grottes situées dans la vallée du ruisseau de Pouy à environ 2 km ouest-sud-ouest du bourg de Brassempouy[24],[25] (dont la grotte du Pape), et en particulier grâce à la découverte d’un véritable trésor, une petite figurine en ivoire de mammouth, la dame de Brassempouy (dite aussi dame à la Capuche). C'est la plus ancienne représentation connue (au monde) d'un visage humain, d’autant plus remarquable par sa finesse et sa beauté.
Le site a aussi livré des pointes en os de baleine[26].

Un musée archéologique (la Maison de la Dame) est consacré à cette découverte.

La grotte du Pape est classée monument historique depuis 1980 ; et les grottes préhistoriques du Pouy en totalité avec leurs différentes cavités : l'abri Dubalen, la galerie du Mégacéros et la grotte des Hyènes[27], sont inscrites depuis 2013[28].

Époque gallo-romaine[modifier | modifier le code]

Rue du village clos par l'église.

D’autres époques ont laissé des traces encore clairement visibles aujourd'hui dans la structure du village. Par exemple, on peut encore distinguer des fortifications de terre, appelées « camps romains » bien qu'on en ignore l'origine exacte. Cependant, il est communément admis que le village a été construit à l'emplacement d'un ancien camp romain (castrum).

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Mais c'est surtout le Moyen Âge qui a marqué le village, puisque l'édification même du bourg date de cette époque. Brassempouy est en effet une vieille bastide anglaise, et le bourg est organisé en village-rue : les maisons sont alignées autour d'une rue principale (et pour ainsi dire presque unique) fermée d'un côté par le château (celui qui est visible aujourd'hui date du XIXe siècle), et de l'autre côté, par l'église. Cette église (XIIe siècle) est aujourd’hui classée monument historique[29],[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Jacques Momas   Retraité
mars 2008 2014 Michel Canfora   Officier retraité
mars 2014 2020 Guy Duplantier DVG Retraité Poste
juillet 2020 En cours Dominique Toulouse    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32]. En 2021, la commune comptait 267 habitants[Note 3], en diminution de 1,84 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9679761 0231 0071 0821 1341 0161 039960
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
942891851788632630575554564
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
567554557475468425413339362
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
357332309291279267289295276
2018 2021 - - - - - - -
264267-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Édouard Piette.
  • Henri Capdeville (1933-2010), issu d'une lignée locale de notaires de cette terre où il repose désormais. Notaire lui-même, conseiller régional d'Aquitaine, président de la fédération des sociétés taurines de France (FSTF) en scrupuleux défendeur de l'intégrité du spectacle taurin, grand maître et fondateur de la confrérie gastronomique des Jabotiers, Henri Capdeville ("Mitou") rayonnait tant sa mission était sa passion : héraut, défenseur et haute figure attentive et chaleureuse pour toutes les traditions et valeurs gasconnes. Cet Andalou de cœur qui exerçait en son étude à Saint-Sever, instillait et partageait un air très sévillan de feria, de romarin et jasmin, de fino et d'exigeante aficion à los toros.

Vie pratique[modifier | modifier le code]

Service public[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

Des animations ont lieu presque tout au long de l'année : Fêtes patronales : week-end de l'Ascension.

Fête de la Musique : juin.

Festival Music'Arts : fin juillet.

Vendanges : septembre octobre.

"Halha de Nadau" (feu de Noël) : .

Le festival Music'Arts retient tout spécialement l'attention : il a lieu chaque année à la fin du mois de juillet (la première édition date de 1995) et associe concerts dans l'église, expositions d'art (peinture, sculpture) et journée du Moyen Âge avec différentes animations en costumes d'époque. Par ailleurs, en plus de l'association Music'Arts qui gère le festival, le village compte plusieurs autres associations culturelles : l'association du chantier archéologique de Brassempouy, les Amis de Brassempouy (qui entend défendre le patrimoine de la commune et promouvoir sa mise en valeur), Brachipodio (dont le but est de sauvegarder et raviver la mémoire du village), le groupe folklorique Lous Toustem Amics (regroupant musiciens, danseurs et échassiers landais) et les Petites Mains de Brassempouy (qui cherche à promouvoir les activités de loisirs créatifs).

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Galeries[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  • Notes de type "N"
  1. Ne pas confondre la grotte des Hyènes de Brassempouy avec la grotte de la Hyène au site des grottes d'Arcy-sur-Cure.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Philippe, Soussieux., Dictionnaire historique des Landes, S.l./Herm, Études landaises / P. Soussieux, 826 p. (ISBN 978-2-9500625-5-0, OCLC 836884348), p. 126.
  2. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes des Landes et bas-Adour, Pau, Éditions Cairn, , 288 p. (ISBN 2-35068-011-8, présentation en ligne), p. 69.
  3. a b et c « Brassempouy, carte interactive » sur Géoportail.
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Brassempouy et Urgons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Urgons » (commune d'Urgons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Urgons » (commune d'Urgons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Brassempouy », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brassempouy », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. Pays des Luy, plaquette de l'office de tourisme de la Communauté de communes Coteaux et Vallées des Luys consultée en 2011
  24. « Site des grottes et Brassempouy, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  25. [Simonet 2015] Aurélien Simonet, « Brassempouy (Landes). Présentation du site et des collections Dubalen et de Laporterie », Fédération Archéologique des Pyrénées occidentales et des Landes ( Archéologie des Pyrénées occidentales),‎ , p. 7-17 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté en ), p. 7.
  26. Jean-Marc Pétillon, « Les armes venues des mers : des pointes en os de baleine dans la panoplie des chasseurs paléolithiques », sur guide-des-landes.com, (consulté en ).
  27. [Tartar 2009] Élise Tartar, De l'os à l'outil : caractérisation technique, économique et sociale de l'utilisation de l'os à l'Aurignacien ancien : étude de trois sites : l'abri Castanet (secteur nord et sud), Brassempouy (grotte des Hyènes et abri Dubalen) et Gatzarria (thèse de doctorat en Préhistoire, dir. Nicole Pigeot), université de Paris 1, (résumé).
  28. « Grottes préhistoriques du Pouy », notice no PA00083929, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Concerne la grotte du Pape (classé 1980) ; .
  29. « Église Saint-Saturnin (Monument historique) », notice no PA00083929, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Église paroissiale Saint-Saturnin (Inventaire général du patrimoine culturel) », notice no IA40001357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]