Boris Vallaud — Wikipédia

Boris Vallaud
Illustration.
Boris Vallaud en 2019.
Fonctions
Président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale
En fonction depuis le
(1 an, 9 mois et 22 jours)
Élection
Législature XVIe (Cinquième République)
Prédécesseur Valérie Rabault
Député français
En fonction depuis le
(6 ans, 9 mois et 29 jours)
Élection 18 juin 2017
Réélection 19 juin 2022
Circonscription 3e des Landes
Législature XVe et XVIe (Cinquième République)
Groupe politique NG (2017-2018)
SOC (depuis 2018)
Coalition NUPES (depuis 2022)
Prédécesseur Monique Lubin (indirectement)
Conseiller départemental des Landes
En fonction depuis le
(2 ans, 9 mois et 18 jours)
Avec Agathe Bourreterre
Élection 27 juin 2021
Circonscription Canton d'Adour Armagnac
Président Xavier Fortinon
Prédécesseur Xavier Lagrave
Porte-parole du Parti socialiste

(4 ans, 11 mois et 28 jours)
Avec Pierre Jouvet
Gabrielle Siry
Dieynaba Diop
Premier secrétaire Olivier Faure
Secrétaire général adjoint de la présidence de la République

(2 ans, 1 mois et 13 jours)
Président François Hollande
Prédécesseur Emmanuel Macron
Nicolas Revel
Successeur Thomas Cazenave
Biographie
Date de naissance (48 ans)
Lieu de naissance Beyrouth (Liban)
Nationalité Française
Parti politique PS
Père Pierre Vallaud
Conjoint Najat Vallaud-Belkacem
Diplômé de IEP de Paris
ENA
Profession Haut fonctionnaire

Boris Vallaud
Secrétaires généraux adjoints de la
présidence de la République

Boris Vallaud, né le à Beyrouth (Liban), est un haut fonctionnaire et homme politique français.

Ancien élève de l'ENA, il collabore avec Arnaud Montebourg au conseil général de Saône-et-Loire de 2008 à 2012, puis au ministère de l’Économie de 2012 à 2014. Il est ensuite secrétaire général adjoint de la présidence de la République, de 2014 à 2016.

Investi par le Parti socialiste, il est élu député dans la 3e circonscription des Landes lors des élections législatives de 2017. Il est réélu député socialiste aux élections législatives de 2022 au sein de la coalition NUPES.

En , il est élu président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, succédant ainsi à Valérie Rabault.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille et études[modifier | modifier le code]

Najat Vallaud-Belkacem, son épouse.

Né le à Beyrouth[1], Boris Vallaud est le fils de l'historien Pierre Vallaud[2] et de l'agrégée d'histoire Dominique Vallaud[3],[4]. Il est également le filleul du politologue Antoine Sfeir[5]. Il dit avoir « gardé un attachement romantique [au Liban] et à la Méditerranée »[6]. Il a des attaches dans les Landes : ses grands-parents sont enterrés à Saint-Sever et il est propriétaire d'une maison à Hontanx[7].

Titulaire d'une maîtrise en droit public[8], il est diplômé en 2000 de l'Institut d'études politiques de Paris[9], où il rencontre Najat Belkacem[10] qu'il épouse le à Hontanx. Ils sont parents de jumeaux (un garçon et une fille) : Louis-Adel et Nour-Chloé, nés en 2008[11],[12].

Il entre ensuite à l'ENA. Il fait partie de la promotion Léopold Sédar Senghor dont est notamment issu Emmanuel Macron[13],[14].

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

Le choix de la préfécture[modifier | modifier le code]

À la sortie de l'ENA, Boris Vallaud choisit le corps préfectoral. "Boris avait obtenu un bon classement de sortie qui aurait pu lui permettre d'intégrer un ministère, mais je ne suis pas surpris qu'il ait choisi le corps préfectoral: ça lui ressemblait d'être dans l'action et la responsabilité immédiates", témoigne Gaspard Gantzer, ancien conseiller communication de François Hollande à l'Elysée et camarade de promotion[15]. Boris Vallaud le justifiera ainsi : "J'aurais pu aller au ministère de l'Emploi et ne plus jamais voir un chômeur en vrai. Mais je voulais tout de suite prendre la mesure des choses"[15].

Il devient alors directeur de cabinet du préfet du Gard puis secrétaire général de la préfecture des Landes de 2006 à 2008[14].

Les années Saône-et-Loire (2008-2012)[modifier | modifier le code]

En 2008, il rejoint Arnaud Montebourg, alors président de département, comme directeur général des services au conseil général de Saône-et-Loire (2008-2012)[16]. L'Obs affirme qu'à ce poste, il « taillait drastiquement dans les dépenses » ; Benjamin Griveaux, alors vice-président du conseil général, indiquera en 2017 qu'il a « plutôt connu » Boris Vallaud « en Merkel de Saône-et-Loire » qu'en « Rosa Luxemburg à Paris »[17]. Pour Boris Vallaud, cette expérience au département de Saône-et-Loire est : "ce que j'ai fait de plus intéressant jusque-là dans ma carrière", en rappelant les "grandes difficultés financières" de la collectivité à son arrivée[15].

Les années Hollande (2012-2017)[modifier | modifier le code]

Après la victoire de François Hollande à l'élection présidentielle de 2012 et celle du Parti socialiste aux élections législatives de 2012, il suit Arnaud Montebourg comme conseiller (2012-2013) et directeur de cabinet au ministère du redressement productif puis au ministère de l'Économie (2013-2014)[18].

Après avoir refusé plusieurs fois de devenir chef de cabinet d'Emmanuel Macron, successeur d'Arnaud Montebourg[5], il est nommé secrétaire général adjoint de la présidence de la République le 17 novembre 2014[19]. À ce poste, il participe notamment aux arbitrages concernant la loi Travail, avec laquelle « il [n'est] pas très à l'aise » selon un ancien collègue[20], et s'oppose parfois au ministre Emmanuel Macron, qui cherche à durcir le texte, en s'inquiétant notamment de l'opposition de la CFDT ; il évoque à ce sujet « un accident industriel majeur »[20]. Il est également, selon L'Opinion, « l'œil industriel de l'Élysée sur Areva », alors en cours de restructuration[21]. Selon Les Inrockuptibles, il s'oppose en interne à la proposition polémique de François Hollande sur la déchéance de nationalité pour les binationaux à la suite des attentats du 13 novembre 2015, citant les « menaces de morts envoyées à sa femme durant cette période et les attaques sur sa double nationalité »[5].

En décembre 2016, il quitte le secrétariat général de l'Élysée, tout en restant conseiller du président François Hollande[22]. Avant le renoncement de François Hollande à se présenter à l'élection présidentielle de 2017, il travaille avec Constance Rivière, sa conseillère spéciale chargée de la culture et de la citoyenneté, et Guillaume Bachelay, numéro 2 du PS, sur les idées de sa possible campagne[23]. Libération relève que « pendant le quinquennat, il réussit la prouesse de passer de la fronde à la hollandie, sans perdre son âme »[24].

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Député de la XVème législature (2017-2022)[modifier | modifier le code]

Boris Vallaud en 2018 en séance dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale à droite du 2e rang.

Il se présente aux élections législatives de 2017 dans la 3e circonscription des Landes, où était élu Henri Emmanuelli[25] et présentée comme « une circonscription en or »[26]. Soutenu par ce dernier, il obtient l'investiture du PS après avoir remporté une primaire interne au sein de la fédération des Landes, avec 63,5 % des votes des militants face au conseiller départemental Paul Carrère, fils du sénateur PS Jean-Louis Carrère[27]. À l'issue du premier tour, il arrive en 2e position avec 25,33 % des suffrages exprimés, dix points derrière Jean-Pierre Steiner, candidat La République en marche[28]. Il l'emporte au second tour en obtenant 50,75 % des suffrages[29]. Il est l'un des trois seuls députés socialistes non sortants à avoir été élus lors de ces élections législatives[30]. Il est porte-parole du groupe Nouvelle Gauche[31] qui devient ensuite « groupe Socialistes et apparentés ».

Au début de la législature, Le Journal du dimanche le situe parmi « les 10 députés qui vont peser dans le quinquennat » : « Depuis son élection dans les Landes, il donne de la voix : il a été l'un des cinq députés socialistes à ne pas voter la confiance au second gouvernement Édouard Philippe et se montre l'un des plus acerbes sur l'action de l'exécutif »[32]. Après six mois de législature, il est le 14e député le plus actif selon le classement établi par Capital, avec notamment 40 présences en commission et 283 amendements[33].

Dans le contexte de l'affaire Benalla, il met au jour une disposition permettant à la commission des Lois de se doter des prérogatives d’une commission d’enquête[34].

Membre de la commission des Affaires sociales[1], il s'oppose à la réforme du code du travail par ordonnances : Mediapart indique qu'il « entend porter une contradiction moins radicale que celle des insoumis et des communistes, mais en réfutant une quelconque continuité avec la loi sur le travail de Myriam El Khomri, à l'élaboration de laquelle il a participé depuis l'Élysée, tout en reconnaissant ne pas avoir gagné tous les arbitrages »[30]. Pour Les Échos, il « s'est révélé lors des travaux sur la réforme du Code du travail [...]. Tandis qu'Adrien Quatennens se faisait remarquer dans l'hémicycle, c'est au sein de la commission des Affaires sociales que le nouveau député des Landes s'est illustré, se positionnant comme co-rapporteur de la mise en application de la loi et en proposant un grand nombre d'amendements »[31]. Il n'est pas présent à la manifestation du , organisée par la CGT, alors que le PS appelle à y participer[35].

Opposant aux réformes de la fonction publique et de l'assurance chômage, ainsi qu'à la ratification du CETA et aux mesures sur l'immigration, il dénonce « le strabisme dangereux » d'Emmanuel Macron qui regarderait « vers l'extrême droite », et dénonce un « président populiste »[36]. Alors que le gouvernement a engagé la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP) dans le cadre de la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises (dite PACTE), il est parmi les initiateurs du déclenchement de la procédure du référendum d'initiative partagée (RIP)[37] pour que les Français se prononcent pour ou contre cette privatisation. Opposant à la réforme des retraites de 2020, il prépare la saisine du Conseil constitutionnel[38]. Avec Hervé Saulignac, il défend, à travers une proposition de loi, la création d'une dotation universelle pour tous les jeunes de 18 ans et d'un revenu de base inconditionnel[39].

Député de la XVIème législature (Depuis 2022)[modifier | modifier le code]

En , il est investi par le Parti socialiste, pour la coalition Nouvelle Union populaire écologique et sociale[40], dans la troisième circonscription des Landes[41],[42]. Il est réélu député au second tour des élections législatives à 59,93 %, contre 40,07 % pour son adversaire Jean-François Broquères, candidat LREM-Renaissance[43]. Le journal Sud Ouest souligne que Boris Vallaud « améliore son score de 2017 de plus de 5 000 voix » et obtient « le meilleur score des députés réélus des Landes »[40].

Le , il est élu président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale[44],[45].

Dans un entretien à L'Express en octobre 2023, Boris Vallaud déclare que les socialistes gèlent leur participation à l'intergroupe de la NUPES : « Je le dis peiné : la Nupes, ça ne marche pas, ça marche mal ». Il décrit Jean-Luc Mélenchon comme un homme qui « interfère, empêche » et revient sur les propos de certains cadres insoumis sur les attaques du Hamas qui divergent de la position des socialistes[46]comme des autres partis de gauche[47]. Toutefois, selon le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, « les socialistes croient au rassemblement de toute la gauche pour une alternative en 2027 »[48].

Conseiller départemental des Landes[modifier | modifier le code]

En 2021, il se présente aux élections départementales des Landes, dans le canton d’Adour Armagnac. À l’issue du premier tour, il finit premier avec 44,32 % des suffrages exprimés[49]. Il est élu au second tour avec 57,58 % des voix et renverse ainsi un canton traditionnellement ancré à droite[50].

Cadre du Parti socialiste[modifier | modifier le code]

En 2017, il est l’invité d’honneur de la Fête de la rose de Frangy-en-Bresse organisée par Arnaud Montebourg[24].

Boris Vallaud soutient Olivier Faure en vue du congrès d'Aubervilliers d'avril 2018[51]. Ils appartiennent tous deux au groupe dit des « quadras », une dizaine de cadres du PS qui se sont soudés à la fin de la présidence de François Hollande, au sein duquel Boris Vallaud « réfléchit à la nouvelle doctrine du socialisme »[52], et qui était disposé à se ranger derrière Najat Vallaud-Belkacem avant son renoncement[53].

Après l'élection d'Olivier Faure comme premier secrétaire, il envisage de lui succéder à la présidence du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée mais se retire avant l'élection[54], constatant qu'il n'aurait pas les suffrages nécessaires face à Valérie Rabault[55]. Quelques jours plus tard, il est désigné porte-parole du PS et secrétaire national à l'Europe[56].

En 2018, il est critiqué au sein du Parti socialiste, notamment par François Rebsamen et Stéphane Le Foll, pour avoir accepté l'invitation à une table ronde de l'université d'été de La France insoumise[57],[55].

En vue de l'élection présidentielle de 2022, il est chargé du projet du PS et plaide pour « une large union de la gauche en alternative crédible à Emmanuel Macron et Marine Le Pen »[58],[59],[60]. Paris Match le présente comme « le socialiste fâché avec personne » au sein de la gauche, indiquant qu'il a « été sollicité par les équipes d’Anne Hidalgo et d’Arnaud Montebourg » tout en étant proche, au sein de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale, de Pierre Dharréville (PCF) et Caroline Fiat (La France insoumise)[59]. Une fois Anne Hidalgo désignée par le PS, il devient responsable de l’équipe de ses porte-paroles[61].

Prises de position[modifier | modifier le code]

Affaire CumCum et justice fiscale[modifier | modifier le code]

En 2018, Boris Vallaud travaillait avec l’économiste Gabriel Zucman sur la taxation des multinationales. Il constate alors « qu’il manque des dizaines de milliards d’euros dans le budget des États, 20 % du produit de l’impôt sur les entreprises ». Il réfléchissait alors à « mieux taxer, que ce ne soit pas les PME qui payent ce que les multinationales ne payent pas. »[62] Ils proposent ensemble une réforme de la taxation des multinationales basée sur leur chiffre d'affaire[63].

Au même moment, Le Monde et un collectif de médias internationaux sortent l’affaire des CumEx Files. Considérant l’affaire comme de « la fraude fiscale aggravée »[62], Boris Vallaud décide de porter plainte contre X pour blanchiment de fraude fiscale et escroquerie aggravée auprès du parquet national financier le 29 novembre 2018. Lors d’une réunion publique dans sa circonscription des Landes, il évoque sa démarche auprès des habitants. 250 se joignent alors à lui et portent également plainte, devant le "Collectif de Citoyens en Bande Organisée"[64]. Boris Vallaud justifie cet intérêt par "un appétit de justice énorme : les gens ne sont pas contre payer des impôts, ils veulent que tout le monde les paye."[62].

Le 28 mars 2023, 5 grandes banques françaises sont perquisitionnés simultanément[65] pour fraude fiscale sur les dividendes. Ce qui est appelé « la plus grosse opération de l’histoire du Parquet National Financier »[62]a pour "origine la plainte du député socialiste des Landes". raconte le média 20 minutes[62].

Familles monoparentales[modifier | modifier le code]

Le 10 octobre 2023, il lance avec Philippe Brun un groupe de travail transpartisan sur les familles monoparentales à l'Assemblée nationale, avec pour objectif « d’aboutir à une proposition de loi transpartisane d’ici le premier semestre 2024. »[66]

Le 8 novembre 2023, à la suite d’une négociation avec le Gouvernement, Boris Vallaud obtient l'accord pour un amendement prévoyant une « allocation exceptionnelle de fin d'année pour les parents élevant seuls des enfants et vivant sous le seuil de pauvreté » à l’occasion de l'adoption du projet de loi de fin de gestion à l'Assemblée nationale[67]. D’un montant compris entre 115 et 200€ par foyer, il est destiné aux familles vivant sous le seuil de pauvreté (moins de 1063€ pour une personne seule) pour un coût de 70 millions d’euros. Cette aide, selon la ministre des Solidarités, concernerait 600 000 familles monoparentales. Boris Vallaud souligne son choix de « soutenir [les familles monoparentales] après une année de hausse des prix, mais aussi de donner enfin de la visibilité à cette réalité. »[68]

Synthèse des résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Année Parti Circonscription 1er tour 2d tour
Voix % Rang Voix % Issue
2017[69] PS 3e des Landes 13 636 25,33 2e 23 460 50,75 Élu
2022[70] 22 057 40,16 1er 28 998 59,93 Élu

Élections départementales[modifier | modifier le code]

Année Parti Canton 1er tour 2d tour
Voix % Rang Voix % Issue
2021[49] PS Adour Armagnac 3 512 44,32 1er 4 435 57,58 Élu

Publication[modifier | modifier le code]

  • Un esprit de résistance, Flammarion, 2021.

Références[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]