Blason de Paris — Wikipédia

Armoiries de Paris
Image illustrative de l'article Blason de Paris
Détails
Adoption





Timbre Couronne murale.
Écu De « gueules à la barque antique équipée d'argent, voguant sur une onde du même ; et au chef d'azur, semé de fleurs de lys d'or, l'écu surmonté d'une couronne murale sommée de quatre tours d'or, contenu de la devise : Fluctuat nec mergitur et accosté de deux branches de sinople (chêne et laurier) croisées en pointe et liées de gueules par un ruban du même auquel sont appendues, en pointe, l'étoile de la Légion d'honneur, à dextre, la croix de la Libération, à senestre, la croix de guerre, toutes trois au naturel ».
Soutiens Une branche de chêne à dextre et une de laurier à senestre[1]
Devise Fluctuat nec mergitur.
Ordres Croix de la Légion d'honneur
Croix de Guerre
Croix de la Libération
Précédentes versions
Usage Mairie de Paris

Le blason de Paris est un blason faisant appel à la symbolique antique de la navigation sur la Seine pour représenter Paris, la capitale de la France.

Description[modifier | modifier le code]

Son blasonnement est :

« De gueules à la nef équipée et habillée d'argent voguant sur des ondes du même mouvant de la pointe, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or »

Le navire représenté figurait déjà en [2] sur le sceau de la puissante corporation des Marchands de l'eau, et remonterait même jusqu'aux nautes de Lutèce, corporation très importante dans la ville durant l'Antiquité gallo-romaine.

La devise de la ville, « Fluctuat nec mergitur » (« Il est battu par les flots, mais ne sombre pas[2]. »), est également une référence à ce bateau.

Dans ses ornements extérieurs, il comporte également les décorations que la ville a été autorisée à faire figurer dans ses armoiries[1] : la Légion d'honneur (décret du ), la croix de guerre (décret du ) et la croix de la Libération (décret du ). Il est surmonté d'une couronne murale d'or à cinq tours, et encadré à dextre d'une branche de chêne et à senestre d'une de laurier. La devise est classiquement inscrite sur un listel en dessous.

Histoire[modifier | modifier le code]

Une nef, ou un vaisseau, qui ressemble fortement à la représentation d'un cogue, bien que fluvial, fut jusqu'à la Révolution de [2] le symbole de la corporation des « marchands de l'eau », qui donna ensuite naissance à la municipalité de Paris. On a même pu faire remonter ce symbole aux nautes de Lutèce dès l'époque gallo-romaine, même si sa forme n'a pas toujours été la même.

Sainte Geneviève, patronne de Paris, compte la nef parmi ses attributs. En effet, au milieu du Ve siècle, elle avait organisé avec la corporation des Nautes des convois sur la Seine pour ravitailler Paris depuis Troyes et Meaux[3].

Une première mention d'armoiries de Paris apparaît dès lorsque Philippe Auguste, au moment de son départ pour la Terre sainte, donne pour premières armoiries à la ville de Paris[4] :

« un écu dont le champ était de gueules, à la nef d'argent, au chef d'azur, semé de fleurs de lys d'or »

Le rouge était la couleur de l'oriflamme de Saint Denis, un étendard des rois de France en temps de guerre et qui symbolise le sang du martyr, alors que le bleu adopté par Philippe Auguste est une couleur rare et chère portée par la Vierge Marie[5],[6].

C'est Saint Louis qui reconnut pour la première fois officiellement le sceau de Paris. Ce sceau permettait de sceller les actes pris par le prévôt des marchands, désigné par ses pairs pour diriger la cité[7].

Selon d'autres sources, c'est le dauphin du roi de France, Charles V, qui ajouta au blason son chef semé de fleurs de lys, emblème du pouvoir royal, pour indiquer la suprématie de la royauté sur la capitale, après le siège de Paris de qui l'opposa au prévôt des marchands de Paris, Étienne Marcel[8].

Sur les sceaux du XIVe siècle, on trouve la légende « Sigillum mercatorum aquæ Parisius » (Sceau des marchands de l'eau de Paris), toujours en vigueur jusqu'aux premières années du XVe siècle.

La transformation du sceau en véritable blason représentant un vaisseau surmonté d'un chef de fleurs de lys sans nombre est notamment attestée par les lettres patentes délivrées par Louis XVIII le , qui citent elles-mêmes une ordonnance du [9], avec pour description[10] :

« De gueules un vaisseau équipé d'argent, soutenu d'une mer de même, un chief d'azur semé de fleurs de lys d'or sans nombre. Lesdites armoiries, surmontées d'une couronne murale de quatre tours, et accompagnées de deux tiges de lys formant supports »

Entretemps, lorsque la Révolution a aboli la noblesse par le décret du , elle a simultanément supprimé tous les emblèmes correspondants. La municipalité de Paris a rapidement obtempéré en décidant la suppression de ses propres armoiries dès novembre de la même année.

Il a fallu attendre le Premier Empire pour que les villes soient à nouveau officiellement autorisées à se doter d'armoiries. Pour Paris, cela s'est concrétisé par les « lettres patentes » accordées à la ville de Paris par Napoléon Ier le , dans lesquelles le chef du blason comporte trois abeilles d'or sur fond de gueules en lieu et place des fleurs de lys. On y voit de plus apparaître une étoile d'argent au-dessus de la nef, et la déesse Isis en proue de la nef.

La Restauration, par les lettres patentes de Louis XVIII de , a ensuite rétabli les armoiries de Paris dans leur forme traditionnelle.

De à , de la Deuxième République au début du Second Empire, le chef d'azur semé de fleurs de lis a été remplacé par un semé d'étoiles. C'est Napoléon III qui a permis le retour du chef fleurdelisé de France.

Après l'attribution de la croix de guerre le 28 juillet 1919 par Georges Clemenceau, un décret du donne la nouvelle description officielle des armoiries de Paris[11] :

« De gueules à la barque antique (équipée) d'argent, voguant sur une onde de même, au chef d'azur semé de fleur de lys d'or, l'écu surmonté d'une couronne murale de quatre tours d'or, soutenu de la devise fluctuat nec mergitur, et accosté de deux branches de sinople (chêne et laurier) croisées en pointe et liées de gueules par un ruban de même auquel sont appendues, à dextre, l'étoile de la légion d'Honneur, à senestre, la croix de guerre, toutes deux au naturel. »

Dernière modification des armes de Paris, le décret du 20 août 1949, signé par le président de la République Vincent Auriol. Ce décret incorpore, aux armoiries de la ville, la croix de la libération, décernée par le général de Gaulle, le 24 mars 1945.

Les nouvelles armoiries sont ainsi réglées :

« De gueules à la barque antique équipée d'argent, voguant sur une onde du même ; et au chef d'azur, semé de fleurs de lys d'or, l'écu surmonté d'une couronne murale sommée de quatre tours d'or, contenu de la devise : Fluctuat nec mergitur et accosté de deux branches de sinople (chêne et laurier) croisées en pointe et liées de gueules par un ruban du même auquel sont appendues, en pointe, l'étoile de la Légion d'Honneur, à dextre, la croix de la Libération, à senestre, la croix de Guerre, toutes trois au naturel. »

La représentation des armes de 1924 est donc reconduite, seule la croix de la Libération est rajoutée.

Ce décret est le dernier texte officiel définissant les armoiries de la ville de Paris[12].

Utilisation actuelle[modifier | modifier le code]

Selon les représentations, on peut remarquer que le navire comporte un seul, deux ou trois mâts, et qu'il est représenté avec ou sans rames. La couronne murale qui le surmonte ne comporte souvent que trois ou quatre tours.

Inspiration[modifier | modifier le code]

Propositions de modifications[modifier | modifier le code]

Couleurs de Paris[modifier | modifier le code]

Les couleurs traditionnelles de la ville de Paris sont, de longue date, le rouge et le bleu. Leur apparition officielle remonte à l'année , quand Étienne Marcel, prévôt des marchands, alors en conflit avec le dauphin, futur Charles V, fit revêtir à ses partisans des chaperons mi-rouges, mi-bleus[16]. On peut par exemple les voir sur la tenue domicile des joueurs du Paris Saint-Germain.

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Arrondissements de Paris[modifier | modifier le code]

Entre et , une « Commission héraldique de la Seine » siégea à l'Hôtel de ville. Dialoguant avec les maires d'arrondissement, l'héraldiste Robert Louis dessina vingt blasons inspirés de l'histoire, de la géographie et du patrimoine des arrondissements parisiens. Comme le note le journaliste Simon Arbellot, un temps proche du gouvernement de Philippe Pétain, le régime de Vichy vit d'un bon œil cette démarche de traditionalisme iconographique. Le Guide des touristes gastronomes de est la première publication à révéler ces armoiries officieuses au grand public[17].

1er arrondissement de Paris
Blason de 1er arrondissement de Paris Blason
Écartelé : au 1er d'azur au clocher de Saint Germain l'Auxerrois d'argent accosté de deux rosaces d'or, au 2e de gueules à la colonne de Vendôme d'argent accostée de deux couronnes de laurier d'or, au 3e de gueules à la Bourse du Commerce d'argent, au 4e d'azur à l'Arc de triomphe du Carrousel d'argent[18].
Détails
Non officiel
2e arrondissement de Paris
Blason de 2e arrondissement de Paris Blason
D'azur à la fasce d'or frettée de gueules accompagnée en chef d'un rais d'escarboucle d'or et en pointe de trois besants du même ordonnés 2 et 1.
Détails
L'escarboucle fait référence à l'orfèvrerie de la rue de la Paix ; le fretté, à la confection textile du Sentier ; et les besants renvoient, eux, à la Bourse.
Non officiel
3e arrondissement de Paris
Blason de 3e arrondissement de Paris Blason
D'or à la fasce de gueules chargée d'un parchemin d'argent, accosté de deux macles d'or, accompagnée en chef d'une mitre de gueules accostée de deux roues dentelées de sable et en pointe d'une croix pattée au pied fiché de gueules.
Détails
La charte et les macles renvoient aux Archives nationales (hôtels de Rohan et Soubise) ; la mitre, à l'abbaye de Saint-Martin-des-Champs ; les engrenages, aux Arts et Métiers et la croix pattée, au quartier du Temple.
Non officiel
4e arrondissement de Paris
Blason de 4e arrondissement de Paris Blason
D'azur semé de fleurs de lis d'or à la croix d'argent ; sur le tout, de gueules à la nef d'argent voguant sur une mer du même.
Détails
Deux éléments iconographiques font ici référence à l'île de la Cité : l'azur et les fleurs de lis renvoient au palais de la Cité et aux rois de France, tandis que la croix d'argent fait écho à la cathédrale Notre-Dame de Paris. L'écusson proche des armoiries parisiennes, au centre, évoque quant à lui l'Hôtel de ville.
Non officiel
5e arrondissement de Paris
Blason de 5e arrondissement de Paris Blason
D'azur au livre ouvert tenu par une main d'argent sortant d'une nuée du même mouvant du chef, accompagné de trois fleurs de lis d'or, deux en flancs et une en pointe ; à la bordure de gueules chargée de huit coquilles d'or.
Détails
Ce blason s'inspire des armoiries de la Sorbonne. Les coquilles font, elles, référence aux patrons de l'arrondissement, saint Jacques et saint Michel.
Non officiel
6e arrondissement de Paris
Blason de 6e arrondissement de Paris Blason
Écartelé : au 1er d'azur à l'écu de sable chargé de trois besants d'argent, accompagné de trois fleurs de lis d'or, au 2e d'or au tourteau d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or, soutenu de cinq tourteaux de gueules ordonnés 2, 2 et 1, au 3e d'or au faisceau de sable, lié, enrubanné et enflammé de gueules, au 4e d'azur à la croix patriarcale recroisetée d'argent accostée de deux lettres capitales S affrontées d'or.
Détails
Le premier quartier fait référence aux armoiries de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, tandis que les tourteaux du deuxième quartier renvoient aux armes des Médicis (le palais du Luxembourg ayant été commandé par Marie de Médicis). Le troisième quartier évoque l'Institut. Enfin, le quatrième quartier fait allusion à l'église Saint-Sulpice.
Non officiel
7e arrondissement de Paris
Blason de 7e arrondissement de Paris Blason
De gueules à deux épées hautes d'argent passées en sautoir, accompagnées en chef et en flanc de trois abeilles d'or et en pointe d'un coupeau d'argent ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.
Détails
Alors que les fleurs de lis renvoient au peuplement aisé et aristocratique du boulevard Saint-Germain, les abeilles font référence, par leur symbolique impériale, aux Invalides. Les épées en sautoir évoquent, elles, l'École militaire. Le coupeau évoque le quartier du Gros-Caillou.
Non officiel
8e arrondissement de Paris
Blason de 8e arrondissement de Paris Blason
D'azur au chevron écimé d'argent, chargé de six arbres de gueules, sommé d'une aigle de l'Empire d'or, accompagné en chef de deux roses d'argent, et en pointe d'une flamme d'or mouvant de la pointe surmontée d'une épée abaissée du même.
Détails
Les arbres rappellent les Champs-Élysées, tandis que les roses font allusion au commerce de luxe qu'héberge traditionnellement l'avenue. L'aigle impérial rappelle l'Arc de triomphe. La flamme et l'épée font référence, elles, à la flamme du Tombe du Soldat inconnu.
Non officiel
9e arrondissement de Paris
Blason de 9e arrondissement de Paris Blason
Coupé : au 1er d'azur à la crosse contournée d'or, accostée de deux lettres onciales M d'argent, chacune surmontée d'une fleur de lis d'or, au 2e de gueules à la lyre d'or.
Détails
La crosse et les deux M rappellent la suzeraineté de l'abbaye de Montmartre, aujourd'hui détruite, qui s'étendait approximativement sur le site actuel de la place des Abbesses. La lyre d'or, elle, évoque l'opéra Garnier.
Non officiel
10e arrondissement de Paris
Blason de 10e arrondissement de Paris Blason
D'azur au sautoir du champ bordé d'un filet d'argent, cantonné au 1er d'un soleil, aux 2e et 3e d'une fleur de lis, au 4e d'une rosace (roue ?), le tout d'or ; sur le tout, de gueules à saint Laurent issant d'argent tenant un gril de sable.
Détails
Le sautoir et la roue rappellent que l'arrondissement compte des gares de grande envergure (gare du Nord et gare de l'Est). Les fleurs de lis et le soleil évoquent les portes Saint-Denis et Saint-Martin ; saint Laurent, enfin, renvoie à l'enclos Saint-Laurent. Le gril que tient le saint correspond à sa représentation héraldique traditionnelle, le gril étant supposément l'instrument de son martyre.
Non officiel
11e arrondissement de Paris
Blason de 11e arrondissement de Paris Blason
De gueules au chevron d'or chargé de cinq clous de sable, accompagné de trois marguerites tigées et feuillées d'argent boutonnées d'or ; au chef d'azur chargé d'une montgolfière d'argent accostée de deux rocs d'échiquiers d'or.
Détails
Les marguerites font allusion à Sainte-Marguerite ; les rocs d'échiquier, au quartier de la Roquette ; les clous, à l'industrie du bois et la montgolfière, aux premières expériences aéronautiques menées par les frères Montgolfier et le physicien Pilâtre de Rozier. Le premier vol habité partit du jardin de la Folie-Titon, aujourd'hui détruite.
Non officiel
12e arrondissement de Paris
Blason de 12e arrondissement de Paris Blason
De gueules au lion d'argent, à la bordure d'or chargée de sept arbres de sinople ; au chef brochant d'azur, chargé d'une fleur de lis d'or accostée de deux grappes de raisin du même.
Détails
Le lion fait référence à la Gare de Lyon ; les arbres, à ceux du faubourg Saint-Antoine, et les grappes, aux entrepôts de Bercy, anciens sites de stockage le long de la Seine réservés aux négociants en vin.
Non officiel
13e arrondissement de Paris
Blason de 13e arrondissement de Paris Blason
D'azur à la fleur de lis d'or enfermée dans une cordelette du même formant la lettre G ; au chef cousu de gueules chargé d'une mitre d’or accostée de deux roues d'engrenage du même.
Détails
Non officiel
14e arrondissement de Paris
Blason de 14e arrondissement de Paris Blason
D'argent à la croix de gueules, sur le tout d'azur aux trois fleurs de lys d'or et au bâton péri en bande de gueules brochant, bordé d'azur aux huit étoiles d'argent[19].
Détails
Non officiel
15e arrondissement de Paris
Blason de 15e arrondissement de Paris Blason
De gueules à la bande d'or chargée de trois roues dentées de sable, accompagnée en chef d'un flambeau d'argent enflammé d'or et en pointe d'un microscope d'argent.
Détails
Non officiel
16e arrondissement de Paris
Blason de 16e arrondissement de Paris Blason
Coupé : au 1er parti au I de gueules au château de la Muette d'argent, ajouré du champ, accompagné en chef d'une fleur de lis d'or accostée de deux croisettes du même, au II d'argent à trois chevaux galopant de sable, bridés et sellés d'or, au 2e d'azur à trois arbres arrachés d'or.
Détails
Officiel
17e arrondissement de Paris
Blason de 17e arrondissement de Paris Blason
D'or à la grenade de sable enflammée de gueules, surmontée de deux chevrons alésés de sable rangés en fasce, à la bordure engrêlée de gueules ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or surmontées d'un lambel d'argent, le chef brochant sur la bordure.
Détails
Non officiel
18e arrondissement de Paris
Blason de 18e arrondissement de Paris Blason
De gueules au cep de vigne d'or ; mantelé croiseté d'or chargé de deux moulins à vent de sable : au chef d'azur chargé de la lettre onciale M d'argent accostée de deux fleurs de lis d'or.
Détails
Non officiel
19e arrondissement de Paris
Blason de 19e arrondissement de Paris Blason
De gueules au mont de trois coupeaux d'or sommé d'un kiosque d'argent ; au chef du même chargé d'une croix de Malte de sinople accostée de deux rencontres de vaches de sable.
Détails
Non officiel
20e arrondissement de Paris
Blason de 20e arrondissement de Paris Blason
De gueules au chevron d'argent chargé de cinq pals ondés d'azur, accompagné en chef à dextre d'une fleur de lilas d'argent tigée et feuillée d'or et à senestre d'une grappe de raisin d'or tigée et feuillée d'argent, et en pointe d'une tour du même, maçonnée de sable, mouvant de la pointe et sommée d'un télégraphe de Chappe d'argent.
Détails
Non officiel

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Thierry Halay, Paris et ses quartiers, Paris/Montréal, L'Harmattan, coll. « Histoire de Paris », , 287 p. (ISBN 2-7384-6691-5), « Armoiries de la Ville de Paris », p. 8 [lire en ligne].
  2. a b c d et e « « Fluctuat nec mergitur », l'histoire de la devise de Paris », sur paris.fr, .
  3. Michel Sot, « Geneviève au secours de Paris », L'Histoire, no 469,‎ , p. 24-25 (lire en ligne).
  4. Nicolas Viton de Saint-Allais, L'art de vérifier les dates des faits historiques..., vol. 5, Paris, C.-F. Patris, (BNF 30249583), p. 537 [lire en ligne].
  5. « Quelle est l'origine du blason de Paris ? », sur pariszigzag.fr (consulté le ).
  6. Bernard Richard, Petite histoire du drapeau français, Paris, CNRS Éditions, , 156 p. (ISBN 978-2-271-09445-2, 978-2-271-09446-9 et 978-2-271-09447-6), p. 66 [lire en ligne].
  7. Seine parisienne, Paris, Éditions du Pavillon de l'eau, .[source insuffisante]
  8. Fernand Bournon, Paris : Histoire, monuments, administration, environs de Paris, Paris, Armand Colin, , 384 p. (BNF 30147812), « Les Armoiries de Paris », p. 292 [lire en ligne].
  9. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, éditions de Minuit, , 1583 p. (ISBN 2-7073-1054-9), p. 46.
  10. François Rittiez, L'Hôtel de ville et la bourgeoisie de Paris : Origines, mœurs, coutumes, institutions municipales depuis les temps les plus reculés jusqu'à , Paris, Durand, , 408 p. (BNF 31221775), p. 64–65 [lire en ligne].
  11. Journal officiel de la République française, no 47, , p. 1698 [lire en ligne (page consultée le 7 décembre 2021)].
  12. Marc DECLERCK, Les armoiries de Paris, Brétigny-sur-Orge, L'Harmattan, , 127 p. (ISBN 978-2-296-02547-9), p. 103
  13. Archives nationales (Paris). Douët-d'Arcq, L. Collection de sceaux. Paris : H. Plon (), no 5582.
  14. Archives nationales (Paris). Douët-d'Arcq, L. Collection de sceaux. Paris : H. Plon (), no 5585.
  15. Historama, no 159, , p. 61.
  16. Juliette Faure, L'arsenal de Paris : Histoire et chroniques, Paris/Budapest/Torino, L'Harmattan, coll. « Histoire de Paris », , 298 p. (ISBN 2-7475-1616-4), p. 35 [lire en ligne].
  17. Simon Arbellot, « Les blasons de nos quartiers », Revue des Deux Mondes,‎ , p. 529–533 (JSTOR 44586434, lire en ligne).
  18. « Paris », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  19. Guide pratique du 14e , p. 17.[source insuffisante]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]