Billet de 100 euros — Wikipédia

Cent euros
Pays officiellement utilisateurs
Valeur 100 
Largeur 147[4] mm
Hauteur 1re série : 82 mm ; série Europe (2019) : 77 mm
Caractéristiques de sécurité
Type de papier 100 % pure fibre de coton[8]
Années de circulation depuis 2002[2]

Recto

Cent euros, Face recto
Design Arche d'architecture baroque[4]
Créateur Robert Kalina[10]
Date de création 3 décembre 1996[10]

Verso

Cent euros, Face verso
Design Pont d'architecture baroque et carte de l'Europe[4]
Créateur Robert Kalina[10]
Date de création 3 décembre 1996[10]

Le billet de 100 euros (100 ) est le cinquième des sept billets en euro par ordre croissant de valeur. Mis en circulation en 2002, il est utilisé par plus de 340 millions de personnes dans les 22 pays dont l'euro est la monnaie unique (dont 20 pays qui l'ont adopté officiellement).

C'est le troisième plus grand billet d'euro, mesurant pour la première série 147 × 82 millimètres et pour la seconde série 147 × 77 millimètres. Il est de couleur verte. Il représente une arche d'architecture baroque sur le recto et un pont d'architecture baroque sur le verso (entre le XVIIe et le XVIIIe siècle).

Le billet de 100 euros possède de nombreuses caractéristiques de sécurité telles qu'une pastille holographique, un filigrane, de l'encre ultraviolette et des microimpressions, une impression en relief, une fenêtre portrait transparente… qui certifient son authenticité.

Au , il y avait 3 366 199 769 billets de 100 euros en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 336 619 976 900 [11].

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant l'introduction[modifier | modifier le code]

L'euro a été mis en place le 1er janvier 1999[2]. Il devint alors la monnaie de plus de 300 millions de personnes en Europe[2]. Pendant les trois premières années d'existence, l'euro était une monnaie « invisible », uniquement utilisée en comptabilité[2]. L'euro liquide fut officiellement introduit le 1er janvier 2002[12], il remplaça alors les pièces et les billets des monnaies nationales de la zone euro (12 membres à l'époque[1]), à des taux fixes[2]. Cette nouvelle monnaie remplaça alors des monnaies telles que le franc français, le Deutsche Mark, la livre irlandaise[2].

Après l'introduction[modifier | modifier le code]

La période de double-circulation, durant laquelle les billets et pièces des monnaies nationales et de l'euro étaient acceptés, dura deux mois, jusqu'au 28 février 2002, date officielle à laquelle les monnaies nationales cessèrent d'avoir un cours légal. Cette date varia cependant de quelques semaines selon les pays[2] : c'est en Allemagne où la monnaie nationale cessa la première d'avoir un cours légal, à la date du 31 décembre 2001. La période de double-circulation y durera cependant également deux mois. Même une fois le cours des anciennes monnaies devenu illégal, ces dernières continuèrent d'être acceptées par les banques centrales durant une période minimale de 10 ans, voire sans limite dans le temps, selon les pays[2],[13]. En Belgique, tous les billets émis après 1945 et d'une valeur supérieure à 100 francs belges (l'équivalent de 2,50 euros) peuvent être échangés pour une durée illimitée auprès de la banque centrale de ce pays.

Différentes séries de billets de 100 euros[modifier | modifier le code]

Première série[modifier | modifier le code]

Jusqu'en mai 2019, il n'y a eu officiellement qu'une seule série de billets de 100 euros, gardant les mêmes signes de sécurité. Leur tirage initial porte la signature du président de la Banque centrale européenne, Wim Duisenberg, remplacé par Jean-Claude Trichet le 1er novembre 2003, lui-même remplacé par Mario Draghi le 1er novembre 2011. Il y a donc trois billets différents de 100 euros avec trois signatures différentes[14], en fonction de leur date d'impression[14]. Toutefois, ils sont tous estampillés 2002, date à laquelle les coupures de la première série ont été introduites.

Deuxième série[modifier | modifier le code]

Le nouveau billet de 100 euros de la série « Europe » a été présenté le 17 septembre 2018 et mis en circulation le 28 mai 2019 avec des signes de sécurité renforcés et plus complexes, ce qui rendra la contrefaçon encore plus difficile[15].

Comparaison visuelle[modifier | modifier le code]


Avers du premier billet de 100 .
Revers du premier billet de 100 .
Avers du second billet de 100 .
Revers du second billet de 100 .

Signatures[modifier | modifier le code]

Signatures des présidents de la BCE

Design[modifier | modifier le code]

Fluorescence du billet de 100 euros sous lumière UV (UV-A)
Billet de 100 euros sous lumière UV (Recto)
Recto
Billet de 100 euros sous lumière UV (Verso)
Verso
La pastille holographique sur le billet de 100 euros.

Le billet de 100 euros est la troisième coupure en euro avec la valeur la plus haute, mesurant 147 × 82 millimètres (série 2002) et 147 × 77 millimètres (série 2019). Il est de couleur verte[4]. Ils représentent tous des ponts, arches et portes dans des styles historiques européens différents. Le billet de 100 euros dépeint l'architecture baroque (entre les XVIIe et XVIIIe siècles)[4]. Les dessins initiaux de Robert Kalina devaient représenter de vrais monuments existants, mais pour des raisons politiques, le pont et l'arche sont plus simplement des exemples hypothétiques de l'ère architecturale romane[16].

Comme sur tous les billets en euro, on peut observer la dénomination de la coupure (100 EURO/ΕΥΡΩ/ЕВРО)[14], le drapeau de l'UE[14], la signature du président de la BCE[14], les initiales de la BCE dans toutes les langues officielles de l'UE (BCE, ECB, ЕЦБ, EZB, EKP, EKT, ESB, EKB, BĊE et EBC)[14], une carte de l'Europe[14], une représentation des territoires d'outre-mer de l'UE (on peut observer, en bas au centre, les îles Canaries et des territoires français utilisant l'euro)[14] et les étoiles du drapeau de l'UE[14].

Caractéristiques de sécurité[modifier | modifier le code]

Première série[modifier | modifier le code]

Les billets de 100 euros sont protégés par une pastille holographique[5], un nombre à couleur changeante[5], une constellation EURion[6], un filigrane[7], des micro-impressions[6], de l'encre ultra-violette[6], une impression en relief[8], un fil de sécurité[7], des micro-perforations[7], un nombre incomplet[7] (visible par transparence), et un numéro de série[14]. Le numéro de série commence par une lettre. Cette lettre correspond à la banque centrale à laquelle les billets sont destinés[14]. Par exemple, un numéro de série commençant par la lettre E, indique que le billet a été destiné et distribué par la banque centrale de Slovaquie, mais ce n'est pas forcément cette dernière qui l'a produit.

Deuxième série[modifier | modifier le code]

Suivant le site de la BCE[17], il y a six signes de sécurité principaux : l’impression en relief (le billet comporte au recto des petites lignes imprimées en relief sur les bordures), le filigrane portrait (par transparence, le portrait d’Europe, une copie du motif principal et la valeur du billet apparaissent à gauche), la fenêtre portrait située dans l’hologramme (devient transparente et fait apparaître un portrait d’Europe sur les deux faces du billet), le nombre émeraude (la valeur passe du vert émeraude au bleu profond) avec de petits symboles de l’euro à l’intérieur, l’hologramme portrait et l’hologramme satellite (en haut de la bande argentée, de petits symboles de l’euro gravitent autour du nombre lors d'une inclinaison)

Identification des billets[modifier | modifier le code]

Première série[modifier | modifier le code]

Chaque coupure de 100 euros possède un numéro de série commençant par une lettre qui correspond à la banque centrale à laquelle il est destiné[14]. L'imprimeur est signalé par une lettre dans l'étoile du recto. Cette lettre est suivie par une série de chiffres désignant la matrice utilisée à l'impression puis par un code (une lettre et un chiffre) correspondant à la position du billet sur la planche.

Deuxième série[modifier | modifier le code]

Chaque billet de la deuxième série possède un numéro de série qui commence par deux lettres. La première correspondant à l'imprimeur, dont les codes diffèrent des précédents, en partie inspirés par les anciens codes d'identification de la banque centrale destinataire des billets. La seconde varie séquentiellement en suivant l'alphabet, en parallèle avec la séquence numérique. La mention de la banque centrale destinataire disparaît donc.

Liste des codes[modifier | modifier le code]

La page « détail des codes d'identification » reprend l'ensemble des codes pour les deux séries.

Production et stockage des billets[modifier | modifier le code]

Le filigrane sur le billet de 100 euros.
Micro-impressions sur le billet de 100 euros.

En avril 2001, la BCE a décidé qu’après l'introduction de l’euro, la production des billets en euros serait décentralisée et mise en commun (pooling). Dès lors, depuis 2002, chaque banque centrale nationale de chaque État membre de la zone euro fournit une partie de la production annuelle totale de certains billets. La banque centrale concernée prend en charge les coûts de production au titre de la part qui lui a été indiquée[18].

En septembre 2002, la BCE a décidé de mettre en place un stock stratégique de l’Eurosystème (c’est-à-dire la Banque centrale européenne (BCE) et les dix‑sept banques centrales nationales (BCN) de la zone euro). Ce stock est utilisé dans des circonstances exceptionnelles, lorsque les stocks au sein de la zone euro sont insuffisants pour faire face à une hausse inattendue de la demande en billets ou en cas d’interruption inattendue de leur approvisionnement[18]. Les stocks permettent aux banques centrales nationales de gérer à tout moment une variation de la demande de billets. Grâce aux stocks logistiques, il est possible de répondre à leur demande dans des circonstances normales. Ces stocks permettent également de remplacer les coupures impropres à la circulation, de faire face à une progression attendue de leur utilisation, de répondre aux fluctuations saisonnières de leur demande et d’optimiser leur transfert entre les succursales des banques centrales[18].

Émission du billet[modifier | modifier le code]

Légalement, la Banque centrale européenne et les banques nationales de chaque pays membre de la zone euro ont le droit d'émettre les 7 coupures en euro différentes. En pratique, seules les banques nationales sont dans la capacité d'émettre ces dernières. La Banque centrale européenne ne possède pas de caisses et n'est impliquée dans aucune opération de trésorerie[2].

Circulation[modifier | modifier le code]

Au , il y avait 3 366 199 769 billets de 100 euros en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 336 619 976 900 [11].

La Banque centrale européenne contrôle constamment la circulation et le stock de pièces et de billets en euro. C'est une tâche effectuée par l'Eurosystème (c’est-à-dire la Banque centrale européenne (BCE) et les dix-sept banques centrales nationales (BCN) de la zone euro) pour assurer un approvisionnement efficace et sans heurts de l'euro et pour en maintenir l'intégrité.

Statistiques[modifier | modifier le code]

La Banque centrale européenne fournit chaque mois des statistiques[11] sur le nombre de billets en circulation.

Il s’agit d’un nombre net, à savoir du nombre de billets émis, diminué de la somme des billets retirés ou rentrés et des billets en dépôt dans les banques nationales de la zone euro.

Le billet de 100 euros est celui qui, comparativement aux autres coupures, progresse le plus en nombre. Il a dépassé le nombre de billets de 5 euros puis celui de 10 euros. De la 5e place, le billet de 100 euros est ainsi passé à la 3e place.

Les chiffres fournis sont les suivants :

Année Coupures Montant Année Coupures Montant Année Coupures Montant
* 364 031 436 36 403 143 600 2007 1 209 329 905 120 932 990 500 2013 1 850 015 381 185 001 538 100
2002 673 170 705 67 317 070 500 2008 1 381 014 947 138 101 494 700 2014 2 016 165 717 201 616 571 700
2003 809 767 028 80 976 702 800 2009 1 471 861 127 147 186 112 700 2015 2 144 782 443 214 478 244 300
2004 919 398 800 91 939 880 000 2010 1 551 066 921 155 106 692 100 2016 2 432 578 136 243 257 813 600
2005 1 018 442 381 101 844 238 100 2011 1 649 945 591 164 994 559 100 2017 2 623 675 137 262 367 513 700
2006 1 116 412 654 111 641 265 400 2012 1 706 141 626 170 614 162 600 2018 2 804 486 391 280 448 639 100
* : au lancement de l'euro fiduciaire ().

Le , une nouvelle série « Europe » a été émise.

Les billets de la première série ont été émis concurremment durant quelques mois avec ceux de la série « Europe » jusqu’à épuisement des stocks existants, puis ils seront progressivement retirés de la circulation. Les deux séries circulent donc parallèlement mais la proportion tendra inévitablement vers une forte diminution de la première série.

Année Coupures Montant Reliquat 1re série Proportion Année Coupures Montant Reliquat 1re série Proportion
2019 3 051 003 315 305 100 331 500 2 519 442 151 82,6 % 2020 3 366 199 769 336 619 976 900 2 260 239 741 67,1 %

La publication des statistiques les plus significatives du nombre de billets en circulation relevées chaque année est celle du , ce nombre étant le plus élevé de l'année.

Les statistiques pour l'ensemble des billets et pour chaque valeur au sont disponibles à la page générale des billets de banque en euros.

Suivi des billets[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs sites web et communautés qui permettent de suivre les billets de banque en euro, de savoir où ils voyagent et où ils ont voyagé[12]. Le site web le plus connu est EuroBillTracker[12]. Le but est d'enregistrer le plus de billets possibles afin de connaître les détails de leur propagation, par exemple d'où et vers où ils se déplacent. Ou encore où un billet a été vu, pour générer des statistiques et des classements, par exemple, dans quels pays il y a le plus de billets[12]. EuroBillTracker en a enregistré plus de 96 millions en [19], soit plus de 1,876 milliard d'euros[19].

Contrefaçon[modifier | modifier le code]

Pour la BCE, les billets en euro sont très difficiles à contrefaire en raison d'un nombre important de signes de sécurité. Cependant, la qualité des planches qui sortent des ateliers clandestins est croissante et les nouvelles technologies permettent de produire plus facilement des faux billets de bonne facture[20],[21]. La coupure de 100  est la troisième la plus contrefaite. Elle représentait 16 % des billets en euro contrefaits au 2d semestre 2011, soit 49 600 billets de 100  contrefaits[22]. La BCE et les banques centrales nationales recommandent d'être vigilant, et de reconnaître les faux-billets par la méthode simple de « Toucher-Regarder-Incliner »[22]. Selon l'expert judiciaire Gilles Duteil, ces estimations ne sont pas réalistes et il est « très difficile de déterminer un chiffre réellement significatif »[21].

Pour lutter contre cette contrefaçon, la BCE utilise des techniques de pointe lors de l'impression et un certain nombre de signes de sécurité, signes qui suffisent à dissuader les faux-monnayeurs. Elle dispose d'un centre d'analyse de la contrefaçon, qui coopère étroitement avec Europol[23]. Ce centre analyse les billets contrefaits récupérés par la police, afin de mieux prévenir les futures contrefaçons[23]. La BCE dispose également d'un Groupe de dissuasion de la contrefaçon des banques centrales (CBCDG)[23]. Il a pour mission de dissuader la contrefaçon numérique et, en empêchant la production de faux-billets, de réduire les dommages causés aux particuliers et aux entreprises qui seraient amenés à recevoir de faux-billets[23]. Il utilise des technologies de lutte contre la contrefaçon qui empêchent l’acquisition ou la reproduction, au moyen d’ordinateurs individuels ou d’outils d’imagerie numérique, de l’image d’un billet protégé. Le CBDG a également pour but de prévenir la reproduction non autorisée de billets[23].

Impact environnemental[modifier | modifier le code]

L'UE étant une institution ayant une politique environnementale très stricte, il était important à ses yeux de minimiser l'impact environnemental lors de la fabrication de coupures en euro. La Banque centrale européenne dit essayer assidûment de faire un usage judicieux des ressources naturelles dans sa fourniture en billets, en maintenant la qualité de l'environnement et en garantissant la santé des personnes[24].

Les billets de banque en euro sont sains d'utilisation : des tests indépendants confirment qu'ils satisfont tous les critères imposés par l'Union européenne, y compris les critères sur les substances chimiques utilisées[24]. Toutes les substances utilisées dans les billets sont dans une concentration en dessous de toute limite[24].

Sources[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Carte interactive.
  2. a b c d e f g h i et j BCE : Introduction - L'utilisation de l'euro
  3. a b c d et e [1]
  4. a b c et d BCE : les signes de sécurité Incliner.
  5. a b c d e et f BCE : signes de sécurité supplémentaires.
  6. a b c d e f g et h BCE : les signes de sécurité Regarder.
  7. a b et c « BCE : les signes de sécurité Toucher. », sur Banque centrale européenne, Banque centrale européenne, (consulté le )
  8. « BCE : caractéristiques de sécurité. », sur Banque centrale européenne, Banque centrale européenne, (consulté le )
  9. a b c et d BCE : Concours graphique organisé en vue de la première série de billets en euros
  10. a b et c (en) « Banknotes and coins circulation », sur ecb.europa.eu (consulté le ).
  11. a b c et d Girolami, Johansson et Schilde 2002
  12. Banque d'Italie - avril 2011
  13. a b c d e f g h i j k et l BCE - Les billets
  14. « Monnaie. De nouveaux billets de 100 et 200 euros à partir de mai 2019 », sur letelegramme.fr, (consulté le )
  15. BBC News - décembre 1996
  16. « Les coupures », sur ecb.europa.eu, Banque centrale européenne, (consulté le )
  17. a b et c BCE - production et stocks
  18. a et b Girolami, Johansson et Schilde - 2002, section Statistique
  19. Christophe Cornevin, « La France cultive la tradition du faux-monnayage », Le Figaro,‎
  20. a et b Céline Rastello, « Faux billets : la France, un pays de faussaires », Le Nouvel Observateur,‎ (lire en ligne)
  21. a et b BCE - 16 janvier 2012, Information sur la contrefaçon
  22. a b c d et e BCE, Lutte contre la contrefaçon
  23. a b et c BCE - 20 décembre 2007

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Olivier Fournier et Michel Prieur, Euro 3, Monnaies et Billets (1999-2006), Les chevau-légers, (ISBN 2-903629-80-3)
  • L'avènement de l'euro, notre monnaie, Banque centrale européenne, (lire en ligne)
  • Antti Heinonen, The first euros (the creation and issue of the first euro banknotes and the road to the Europa series), Banque centrale européenne, , 271 p. (ISBN 978-92-899-1508-3, lire en ligne)

Conventions monétaires et législation[modifier | modifier le code]

  • Convention monétaire entre le gouvernement de la République française et le gouvernement de Son Altesse sérénissime le prince de Monaco, JOUE, , 15 p. (lire en ligne)
  • Convention monétaire entre la République italienne, au nom de la Communauté européenne, et la République de Saint-Marin, JOUE, , 4 p. (lire en ligne)
  • Convention monétaire entre la République italienne, au nom de la Communauté européenne, et l'État de la Cité du Vatican, représenté par le Saint-Siège, , 4 p. (lire en ligne)
  • (en) Implementing UNMIK Regulation n° 1999/4 of 2 september 1999 on the currency permitted to be used in Kosovo, Unmikonline.org, (lire en ligne)

Sites officiels[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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