Bidos — Wikipédia

Bidos
Bidos
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Françoise Assad
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64126
Démographie
Gentilé Bidosien
Population
municipale
1 109 hab. (2021 en diminution de 5,05 % par rapport à 2015)
Densité 815 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 10′ 45″ nord, 0° 36′ 17″ ouest
Altitude Min. 213 m
Max. 267 m
Superficie 1,36 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Oloron-Sainte-Marie
(banlieue)
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bidos
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Bidos
Liens
Site web www.bidos.fr

Bidos [bidɔs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Bidosien[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Bidos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 35 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 2 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Oloron-Sainte-Marie (1,8 km), Agnos (2,0 km), Goès (2,6 km), Gurmençon (2,6 km), Précilhon (2,8 km), Estos (3,4 km), Ledeuix (4,4 km), Eysus (4,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Bidos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes de Bidos[7]
Oloron-Sainte-Marie
Bidos
Agnos Gurmençon

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bidos.

La commune est drainée par le gave d'Aspe[8],[Carte 1].

Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 223 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 2 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) »[18], d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[20],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[22].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bidos est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[26] et 16 948 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[27],[28].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[29],[30].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (68,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (66,6 %), prairies (18,4 %), terres arables (6 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), forêts (1,9 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Un train à Bidos, le lendemain de l'inauguration en 2016.

Si la ville de Bidos était privée du service ferroviaire et qu'il ait fallu accéder à la gare d'Oloron-Sainte-Marie, à partir du 26 juin 2016 la circulation des trains est rétablie. Il s'agissait d'un fruit des travaux importants de la ligne Pau-Canfranc d'Oloron à Bedous. Aussi une gare a-t-elle été inaugurée près de la mairie ainsi que de l'usine de Safran Landing Systems.

Bidos est par ailleurs desservie par la route nationale 134.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bidos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2006 et 2009[34],[32].

Bidos est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bidos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 19,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[39].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[40] : Safran Landing Systems (activités soumises à autorisation notamment pour l'emploi ou le stockage de solides inflammables et de produits de toxicité aiguë)[41].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Bidos apparaît sous les formes Abidos (XIe siècle[42], for d'Oloron[43]), Bedos (1267, cartulaire d'Oloron[44]), Viudos pres Oloron et Vidos (respectivement vers 1540[42] et 1546[42], réformation de Béarn[45]).

On peut penser à l'occitan bidòs (« tordu, qui est de travers »), mais il s'agit plutôt, d'après André Pégorier, d'un toponyme lié à un arbre, peut-être une espèce d'aulne ou de sorbier. On peut également penser que le nom original était Bidehotz qui signifie en basque "chemin froid" en référence à la route qui partait d'Iluro (hiri uro "Ville d'eau" en basque) vers les froides Pyrénées.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 1971 René Gruel   chef du camp de concentration de Gurs de à [46]
1995 2001 Hubert Lévy    
2001 2008 Jean-Jacques Bordenave    
2008 2020 André Paillas    
2020 2026 Françoise Assad    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de quatre structures intercommunales[47] :

  • la communauté de communes du Piémont Oloronais ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de télévision d'Oloron-Vallée d'Aspe ;
  • le syndicat intercommunal d'assainissement de la Porte d’Aspe.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

En 2021, la commune comptait 1 109 habitants[Note 9], en diminution de 5,05 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
140155124171187174193173163
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
145171145177177195203206212
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
237224240243239260263270250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5701 0181 2151 3121 3171 1941 1831 1581 145
2021 - - - - - - - -
1 109--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

Économie[modifier | modifier le code]

Bien que fortement marquée par l'agriculture (polyculture, élevage, pâturages), l'activité s'est également orientée vers l'industrie, avec deux établissements, Messier-Bugatti-Dowty[52], de nos jours devenu Safran, fabricant de trains d'atterrissage (810 salariés en 2012[53]) ainsi que les établissements Lartigues (tissage de toiles basques). L'installation de l'usine de la société Messier remonte à 1938, car l'entreprise considérait que la France avait besoin d'éloigner les activités industrielles de la frontière allemande[54].

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

L'usine de Safran à Bidos.
Route du Somport.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château de Lassalle[55] date du XVIIIe siècle. Il fait l'objet d'une inscription de la part des monuments historiques. Son revêtement mural intérieur[56] est classé à titre d'objet par le ministère de la Culture.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin-de-Tours.

L'église Saint-Martin-de-Tours fut construite[57] à la fin du XIXe siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bidos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bidos », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Bidos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Bidos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Métadonnées de la commune de Bidos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bidos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Bidos et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Bidos », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. a b c d et e Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Bidos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Aspe ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Bidos et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bidos », sur Géorisques (consulté le ).
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  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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