Baneuil — Wikipédia

Baneuil
Baneuil
Le village de Baneuil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Thierry, Joël Deguilhem
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24023
Démographie
Gentilé Baneuillais
Population
municipale
319 hab. (2021 en diminution de 10,14 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 02″ nord, 0° 41′ 20″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 141 m
Superficie 8,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Baneuil
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Baneuil
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Baneuil
Liens
Site web baneuil.fr

Baneuil est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans le sud du département de la Dordogne, en Bergeracois et faisant partie de l'aire d'attraction de Bergerac, la commune de Baneuil est entièrement située en rive droite de la Dordogne.

Le bourg se situe, en distances orthodromiques, quatre kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde et seize kilomètres à l'est de Bergerac.

La principale voie d'accès de la commune est la route départementale 660 (l'ancienne route nationale 660) qui longe le canal de Lalinde. Le sud du territoire communal est traversé par la ligne ferroviaire Bergerac-Le Buisson, dont la gare la plus proche est celle de Couze, à trois kilomètres du bourg par la route.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Baneuil et des communes avoisinantes.

Baneuil est limitrophe de six autres communes, dont Couze-et-Saint-Front au sud-est, sur moins de 400 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Baneuil est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Baneuil.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 27 m[5] au sud-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Capraise-de-Lalinde et Varennes, et 141 m[5] au bourg de Baneuil[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 8,89 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,01 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dordogne et le canal de Lalinde, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16],[17]. Elle borde la commune au sud sur deux kilomètres, face à Couze-et-Saint-Front et Varennes.

Le canal de Lalinde, d'une longueur totale de 15,51 km, est alimenté en eau par la Dordogne et prend naissance dans la commune de Mauzac-et-Grand-Castang, juste en amont du barrage de Mauzac[18], face à la commune de Calès, et rejoint la Dordogne à Mouleydier, juste en aval du barrage de Tuilières, face à Saint-Agne[19],[20]. Parallèle à la Dordogne, le canal baigne le sud de la commune également sur deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 874 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 16 km à vol d'oiseau[26], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Notamment liées à la présence de la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.

Natura 2000[modifier | modifier le code]

La Dordogne à la Borie-Basse.

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 103 communes riveraines de la Dordogne[Note 3], dont Baneuil[30],[31]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[32].

La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes[Note 4], fait également partie du réseau Natura 2000[33],[34]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[33] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros). Sur la commune, elle s'étend sur une trentaine d'hectares en un seul site, en bordure nord de la ligne ferroviaire, entre les lieux-dits la Borie-Basse et la Tronce, ainsi que dans l'angle sud-ouest du territoire communal, au sud de la Boissière.

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Ces mêmes coteaux calcaires forment aussi une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I sur laquelle subsistent sur 19 hectares des chênes verts (Quercus ilex)[35],[36].

Baneuil fait partie des 102 communes concernées par la ZNIEFF de type II « La Dordogne »[37],[38], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[39].

Protection du biotope[modifier | modifier le code]

Comme l'ensemble des communes du département baignées par la Dordogne, Baneuil est soumise à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[40].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Baneuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[41],[42],[43].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[44],[45].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,2 %), prairies (25,7 %), terres arables (16,8 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 7] (2 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[46]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Baneuil proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[47] :

  • les Bailleries
  • Bel-Air
  • Bois de Bittarie
  • Bois de Garaude
  • la Boissière
  • la Borie Basse
  • la Borie Haute
  • la Borie Neuve
  • la Cassenade
  • les Chardoules
  • la Combe du Château
  • la Coste
  • Courgniol
  • Fontenille
  • la Métairie Haute
  • Montaud
  • Port de Couze
  • les Pradasques
  • la Renardière
  • le Terme
  • Tertre de Galibert
  • Thévenis
  • la Tronce.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Baneuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[48]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[49].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal de Lalinde. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[50],[48]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne, de Creysse à Le Buisson », couvrant 20 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[51],[52].

Baneuil est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[53]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[54],[55].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Baneuil.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[56]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[58]. 35,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[59].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut : Polyrey SAS, dont l’activité de fabrication de panneaux stratifiés et agglomérés est soumise à autorisation du fait de l’utilisation de produits toxiques et inflammables tels que le formol, le phénol ou le méthanol[60],[61].

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 9] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[63].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Banolium au XIIIe siècle[64] et Banolhium en 1472, Baneilh en 1582[64].

Le nom de la commune se réfère soit à un nom de personnage d'origine germanique Banno, soit au mot gaulois banno, signifiant « corne », suivis du suffixe gaulois -ialo, indiquant une clairière[65],[66]. Baneuil pourrait donc signifier la « clairière de la corne » ou la « clairière de Banno ». D'origine celtique, ce toponyme pourrait se rapprocher du mot gaélique d’Écosse Beann signifiant « sommet, corne, pointe ». À l'origine, Baneuil était sans doute une clairière située sur une hauteur et suffisamment remarquable pour avoir donné son nom à ce lieu (« Baneuil est au sommet d'un coteau dominant la vallée de la Dordogne »[67]).

En occitan, la commune porte le nom de Banuèlh[66].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire communal a été occupé au Paléolithique et au Néolithique[65]. Baneuil est un village ancien comme l'indique son nom d'origine gauloise. La présence d'un dolmen[68] atteste l'occupation très ancienne de cette colline dominée par un vieux donjon datant du XIIe siècle. La construction de l'église remonte à la fin du XIe siècle[65].

La première mention écrite connue du lieu remonte au XIIIe siècle sous la forme Banolium, suivie deux siècles après, de Banolhium[65].

Le village se situe sur une très ancienne voie de colline qui suivait sur les hauteurs, la rive droite de la Dordogne.

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village porte le nom de Baneul[69].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune de Baneuil a, dès 1790, été rattachée au canton de la Linde qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, les districts sont supprimés et le canton de Lalinde (nouvelle orthographe) dépend désormais de l'arrondissement de Bergerac[5].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

En 2002, Baneuil intègre dès sa création la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Cette structure intercommunale fusionne avec quatre autres pour former au 1er janvier 2013 la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[70],[71].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Guy Traverse[Note 10]    
  mars 2001 Pierre Ratier    
mars 2001 mars 2008 Alain Bernard    
mars 2008 mars 2014 Gérard Porcher SE[72] Retraité de l'Éducation nationale
mars 2014[73]
(réélu en mai 2020)
En cours Thierry Joël Deguilhem FG[74]  

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2012, Baneuil est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Cause-de-Clérans et Couze-et-Saint-Front au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure la maternelle et le cours préparatoire[75].

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Baneuil relève[76] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Baneuil se nomment les Baneuillais[77].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[78]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[79].

En 2021, la commune comptait 319 habitants[Note 11], en diminution de 10,14 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
206168170180210212217228219
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
221240212205199216211200187
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
187223225223244263250221236
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
280260259262299302353362348
2014 2019 2021 - - - - - -
356328319------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[80].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[81], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 164 personnes, soit 46,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a augmenté par rapport à 2010 (seize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,9 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte dix-sept établissements[82], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, un dans la construction, et un dans l'industrie[83].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Créée en 1956, l'entreprise Polyrey, l'un des principaux employeurs privés du département avec 500 employés à Baneuil en 2016, sur 650 au total[84], est l'une des principales entreprises européennes sur le marché des stratifiés[85].

Parmi les entreprises ayant leur siège social en Dordogne, tous secteurs confondus, Polyrey (fabrication de produits en caoutchouc et en plastique) se classe en deuxième position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 136 893 k€[86], en première position parmi les entreprises industrielles[87], et également en première position pour le chiffre d'affaires à l'exportation (73 956 k€)[88].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Aux 104 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès et Peyrillac-et-Millac qui, avec Orliaguet, ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 103 communes au total.
  4. Aux 27 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès, Orliaguet et Peyrillac-et-Millac qui ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 25 communes au total.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[62].
  10. Décédé en fonctions.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Baneuil » sur Géoportail (consulté le 15 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Baneuil » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Baneuil », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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