Augustodunum — Wikipédia

Augustodunum
Image illustrative de l’article Augustodunum
Le théâtre romain d'Autun.
Localisation
Pays Drapeau de l'Empire romain Empire romain
Province romaine Haut-Empire : Gaule lyonnaise
Bas-Empire : Lyonnaise première
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Commune Autun
Type Chef-lieu de Civitas
Coordonnées 46° 57′ 06″ nord, 4° 17′ 58″ est
Superficie 200 ha
Géolocalisation sur la carte : Empire romain
(Voir situation sur carte : Empire romain)
Augustodunum
Augustodunum
Histoire
Époque Antiquité (Empire romain)

Augustodunum est le nom celtique latinisé de l'ancienne cité d'Autun, formé d'Augusto et dunum. La grande cité apparaît vers 16-, fondée par l'empereur Auguste au bord de l'Atuvaros (Arroux) et sur l'axe majeur des Éduens qui relie Bibracte à Cavillonum. Rome cherche à affirmer son pouvoir et veut éclipser l'oppidum de Bibracte. Chef-lieu de la civitas, la grande cité devient un centre administratif, économique, politique et intellectuel, un relais du pouvoir romain, la capitale des Éduens[1]. Aucune ville de la province de Gaule lyonnaise, mis à part Lugdunum (Lyon), ne peut se comparer à Augustodunum qui se pare du titre de « soror et aemula Romae », (sœur et émule de Rome).

La population de Bibracte s'y déplace[2].

Autour des écoles de Droit et de Lettres les notables encouragent le développement d'un enseignement de qualité. L'étude de la géographie et de l'histoire y tient une place importante. « toute la plus noble jeunesse des Gaules » s'y réunissait dit Tacite. Ses écoles méniennes[3] sont réputées et constituent un centre de vie intellectuelle et littéraire intense. « Le grec y était connu et pratiqué ; des professeurs, des gens de lettres venaient d'Italie et de Grèce[4] ». Avec Eumène, grand défenseur des Écoles méniennes, Augustodunum laisse à la Bourgogne un illustre orateur, un rhéteur de grande réputation. La cité, trop à l'écart des grandes voies de communication connaîtra un déclin progressif.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les premiers indices d'une occupation humaine antérieure à la période augustéenne sur le site sont découverts en 2013. La cité d'Augustodunum (Autun) est fondée durant le règne d'Auguste : son nom antique signifie « la forteresse d'Auguste » (voir article dun). Elle est destinée à remplacer Bibracte, capitale des Éduens, afin de remercier ce peuple de son alliance ancestrale avec Rome. Auguste manifeste ainsi la volonté de créer en Gaule une grande cité qui montrerait la puissance romaine. Augustodunum est donc dotée de splendides monuments.

La création d'Autun attira les populations environnantes et notamment les habitants de Bibracte, l'oppidum éduen, qui tomba peu à peu dans l'oubli.

Prise par Julius Sacrovir en l'an 21, elle fut le foyer de la révolte de ce Gaulois, qui se tua aux environs.

Au IIIe siècle, elle se révolte contre la domination de l'empire des Gaules et se rallie à l'empereur Claude II. Elle fut assiégée en 270 (en) durant sept mois, prise et saccagée par l'usurpateur Victorinus. Elle fut relevée de ses ruines sous la tétrarchie, le siège et la reconstruction ont été évoqués une génération après ces événements par des rhéteurs gaulois de l'école d'Autun, en 298 par Eumène[5] et en 311 par un anonyme dans son panégyrique de Constantin[6],[7].

Voies romaines et itinéraires[modifier | modifier le code]

Carte des principales voies romaines sous Hadrien (vers 125). Augustodunum est connectée au réseau d'Agrippa.
Porte d'Arroux au nord d'Autun.

La création de la ville, sur la rive gauche de l'Arroux, a incontestablement déplacé les anciens axes de communication qui se rendaient à Bibracte. À partir d'Autun, on peut aisément repérer un réseau routier développé en étoile, récupérant partiellement des voies antérieures. Pas moins de quatorze voies aboutissent à la ville, dont deux importantes, la voie dite d'Agrippa, de Lyon à Gesoriacum par Chalon-sur-Saône, Autun, Auxerre, Sens et Beauvais, et la transversale mettant en communication l'est et le centre, Besançon et Bourges, par Beaune, Autun et Decize[8].

  • La voie de Cabillonum (Chalon-sur-Saône) sort de l'enceinte par la porte méridionale de la ville, dite Porte de Rome, elle continue d'abord en ligne droite. À 120 m environ, elle atteint d'abord le ruisseau de l'Accoron et le franchit sur un petit pont.
  • La voie d'Autessiodurum (Auxerre) sort d'Autun par la porte d'Arroux. Elle se dirige d'abord selon l'alignement du cardo maximus et franchit l'Arroux, vraisemblablement sur un pont. Aussitôt après, se place une bifurcation : la branche de droite, orientée presque au nord, est la voie de Saulieu[CAG 71 1].
  • La voie d'Andemantunnum (Langres), issue de la ville par la porte Saint-André, que l'on nomme aussi porte de Langres, prend la direction du nord-est et franchit aussitôt le ruisseau d'Accoron en direction d'Andemantunnum.
  • La voie de Vesontio (Besançon) par Tavaux possède un tronc commun avec la voie de Langres.
  • La voie de Troyes par Alésia sort par la porte d'Arroux et possède un tronc commun avec la voie de Langres.
  • La voie d'Orléans se détache de la voie de Clermont au lieu-dit Pierrefitte.
  • La voie de Clermont par Bourbon-Lancy sort d'Autun par la porte nord, dite porte d'Arroux. Aussitôt après avoir franchi le pont sur l'Arroux, on se trouve en présence d'un embranchement. La route de droite conduit à Saulieu et à Alise-Sainte-Reine.
  • Le faisceau de routes issu de la porte d'Arroux se divise sous les murs d'Autun en deux branches. La branche dirigée vers le sud-ouest constitue la voie d'Autun à Clermont. De cette voie se détache, à 7 km environ du mur d'enceinte d'Autun, la voie de Decize par Saint-Honoré, qui conduit ensuite vers Bourges.

La ville d'Augustodunum figure sur la table de Peutinger, même si seules certaines voies sont mentionnées[9].

Monuments[modifier | modifier le code]

L'enceinte[modifier | modifier le code]

L'enceinte romaine d'Autun.
  • La courtine

L'enceinte d'Autun est l'une des mieux conservées de la Gaule Romaine. Elle a été conçue sous l'empereur Auguste, fondateur de la cité. L'enceinte honorifique, longue de 6 025 mètres (ce qui la plaçait au troisième rang de la Gaule après Nîmes et Trèves)[10],[CAG 71 2], comporte 53 ou 54 tours[CAG 71 3]. Positionnée au plus proche des rivières qui contraignent le site, elle a la forme d'un losange[CAG 71 2] et enclot une superficie de 200 hectares environ[10]. Son noyau est constitué d'un blocage de granite à deux micas et de gneiss d'extraction locale. Les parements présentent des assises régulières de petits moellons de grès du plateau d'Antully. Ces moellons sont taillés en « grains de maïs » afin d'améliorer la cohésion avec le blocage interne[11].

En se fondant sur les restes de la porte Saint-Andoche, on évalue la hauteur primitive de la courtine — sans doute crénelée, si l'on en croit des vestiges observés par J. Roidot — à 13 m. L'épaisseur moyenne de la muraille est constante et varie entre 2,40 m et 2,50 m. Le mode de construction est homogène sur tout le tracé[12].

Elle était percée de quatre portes, d'où partaient les principaux axes de communication : La porte de Rome (disparue, mais dont les fondations avaient été dégagées en 1610), la porte d'Arroux vers le nord, La porte Saint-André vers l'est et la porte Saint-Andoche vers l'ouest (une partie de la tour méridionale subsiste dans les vestiges de l'abbaye Saint-Andoche). Deux de ces quatre portes subsistent, aux extrémités des deux rues principales qui se coupaient à l'angle droit du cardo maximus et du decumanus maximus.

  • Les tours

Les tours étaient toutes entièrement circulaires, contrairement à ce que peuvent laisser penser certains relevés incomplets du siècle dernier. Ces tours étaient initialement au nombre de 53 ou 54, selon que l'on admet ou non l'existence d'une tour entre le théâtre et l'amphithéâtre, sans compter les tours flanquant les quatre portes (qui ne sont pas circulaires, mais en forme de U)[13].

Porte Saint-André[modifier | modifier le code]

La porte Saint-André.

Dès le Ier siècle, la porte Saint-André, monumentale, fut l’entrée orientale du decumanus maximus, grand axe est-ouest de la cité. Comme toutes les autres portes de la ville, elle était flanquée de deux tours semi-circulaires, dont l'une est encore aujourd'hui conservée et abrite la chapelle Saint-André. Cette porte est haute de 14,50 m et large de 20 m[14].

Porte d'Arroux[modifier | modifier le code]

La porte d'Arroux.

La porte d'Arroux est située à l'extrémité nord de l'axe principal nord-sud de la ville : le cardo maximus. Ses deux tours semi-circulaires encadraient quatre arches : deux pour les chars, où sont visibles les rainures de la herse, et deux pour les piétons. Cette porte présente une hauteur de 17 m et une largeur de 19 m[14].

Le théâtre[modifier | modifier le code]

Le théâtre romain.

Le théâtre romain a été construit au début du IIe siècle apr. J.-C. Il pouvait contenir jusqu'à 20 000 personnes. Les dimensions du théâtre sont considérables. Son diamètre de 147,80 m, vérifié par des calculs récents, en fait le plus vaste théâtre antique connu de Gaule, et même du monde romain, avec le théâtre que Pompée édifia sur le Champ de Mars, dont les dimensions ne sont pas vraiment assurées[15]. Si l'on compare à d'autres villes de Gaule, à la population plus importante, ces dimensions sont exceptionnelles[16].

L’amphithéâtre[modifier | modifier le code]

L'amphithéâtre représenté par Bernard de Montfaucon. Image sans valeur historique[17].

L'amphithéâtre, est situé à proximité du théâtre dans la partie orientale de l'enceinte. Aucun vestige n'en subsiste mais il est établi que ses dimensions atteignent au total 154 × 130 m et l’arène mesure 74 × 19 m. Il s'agit donc de l'un des plus grands amphithéâtres de Gaule connus. La réalisation de cet amphithéâtre se situerait entre le début de l'époque flavienne et celui du IIe siècle[18].

Il est possible qu'il ait succédé à un autre monument construit en matériaux périssables et que son édification, contemporaine de celle du théâtre, réponde à un plan organisé d'urbanisation qui regroupe dans ce secteur de la ville les monuments du spectacle[19].

Le théâtre extra-muros[modifier | modifier le code]

Un second théâtre extra-muros a été découvert en 1976 par prospection aérienne au lieu-dit le Haut-du-Verger[20] à proximité du temple de Janus. Des sondages ont permis d'en préciser le plan[21].

Le Cardo Maximus[modifier | modifier le code]

Le cardo maximus, constitue véritablement l'axe de la ville, son épine dorsale. Élément essentiel de la scénographie urbaine, elle est profondément inscrite dans la topographie et sa trace se devine encore aujourd'hui. De direction sud-est/nord-ouest, elle relie la porte de Rome à la porte d'Arroux et constitue en fait le passage, à l'intérieur de la ville, de la via d'Agrippa. Son tracé, qui couvre 1 570 m, a été reconnu depuis longtemps.

Avec ses trottoirs, et sans compter les portiques, le cardo maximus occupe une largeur d'environ 16 m, ce qui lui confère un caractère monumental dans sa traversée de la ville. À partir de la Porte de Rome, cette rue gravit une pente rapide, suit le tracé de la rue de la Jambe-de-Bois, traverse la place de Charmasse, la partie orientale du centre hospitalier, passe sous les maisons 4 et 3 de la rue Mazagran, dans la cave du 30 rue Marchaux, sous la rue de Paris, puis suit la rue du Faubourg-d'Arroux jusqu'à la porte d'Arroux[22].

Temple de Janus[modifier | modifier le code]

Temple de Janus.

Le temple de Janus date probablement du Ier siècle apr. J.-C. Ce sanctuaire fut construit de manière typiquement gallo-romaine sous la forme d'un fanum, à la manière des nombreux édifices gaulois en bois qui ont précédé la conquête romaine. Celui-ci est constitué d'une cella (salle de culte), sorte de tour de plan carré, culminant à 24 m et large de 16 m, bien conservée jusqu’à nos jours, mais autrefois couverte. Elle était ceinte au rez-de-chaussée d'une galerie : l'emplacement des poutres destinées à maintenir sa couverture est visible sous les fenêtres du 1er étage.

Ce temple situé à l'extérieur de la cité est sans doute lié à tort au culte du dieu Janus, dans un faubourg à caractère rural, qu'on ne saurait comparer à la ville « officielle », comprise à l’intérieur des remparts.

Première restauration en 1874 par Jean Roidot-Déléage.

Pyramide de Couhard[modifier | modifier le code]

Pyramide de Couhard.

Ce monument fut sans doute construit au Ier siècle apr. J.-C. Seul le blocage intérieur nous est parvenu. Il était recouvert d'un parement régulier formant une pyramide et atteignait environ 33 m. La pierre se dressait dans une des grandes nécropoles de la cité : les cimetières de toutes les villes romaines se situaient toujours en dehors des murailles. La pierre de Couhard dont l'interprétation a donné lieu à de nombreuses controverses, était donc très probablement un monument funéraire : un tombeau recouvrant les restes d'un défunt, ou un cénotaphe, célébrant sa mémoire.

Cette pyramide apparaît aujourd'hui percée d'un orifice, dû à des fouilles effectuées en 1640. Au XIXe siècle, d'autres fouilles ont eu lieu, infructueuses elles aussi. On a toutefois trouvé à la base du monument une « tablette magique » du IIe siècle portant des inscriptions maléfiques en latin et en grec.

La Pierre de Couhard se situe à proximité de la cascade de Brisecou.

Commerce et technologie[modifier | modifier le code]

Fours de potier[modifier | modifier le code]

On a retrouvé des traces de nombreux fours de potier, car la cité était, dès la fin du Ier siècle, « l'un des grands centres de production de céramique des Gaules ». L'atelier du potier Pistillus, au IIIe siècle était particulièrement renommé car il avait mis au point une technique de cuisson à l'abri des flammes, évitant ainsi de noircir les objets. Son atelier produisait statuettes, plats dorés de mica et vaisselle fine aux reflets de métal exportés jusque sur les bords du Danube. L'un de ces fours a été reconstitué par les archéologues et met en lumière le processus de fabrication de céramique romaine, depuis l'argile brute jusqu'à la poterie[23].

Verre[modifier | modifier le code]

En novembre 2020, au cours de la fouille des 230 sépultures d'une importante nécropole, les archéologues découvrent un vase en verre diatrète (ouvragé) de la fin de l'époque romaine[24]. Sur la quinzaine d'exemplaires de ce type dans le monde, c'est le premier que l'on ait trouvé sur le territoire de la France[25]. Au cours de l'année 2021, la coupe a fait l'objet d'un minutieux travail de restauration en Allemagne, car les centaines de fragments ne tenaient ensemble que par la terre qui les entourait. Haute de 12,6 cm pour un diamètre de 15 cm, la coupe pèse au total 196 grammes et le verre à son bord ne mesure que deux millimètres d'épaisseur. Elle est ornée de motifs sculptés et une inscription latine en lettres capitales en fait le tour formant les mots « (la) Vivas feliciter » (« Puisses-tu vivre heureux »)[25].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  • Alain Rebourg et Roland Niaux, Carte archéologique de la Gaule, Autun 71/1, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 71,1), , 238 p. (ISBN 978-2-87754-025-4, OCLC 715609124) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  1. p. 33-34
  2. a et b p. 42
  3. p. 43
  • Autres références :
  1. Jacques Marseille, p. 40.
  2. Comment s'effectua le transfert des habitants de Bibracte ? Une question (parmi d'autres posées par l'auteur) qui ne peuvent recevoir de réponse faute de documentation, in Lucien Febvre, p. 73.
  3. Le nom de cette université lui vient des portiques, moeniana, sous lesquels ont lieu les cours in Fernand Nathan, p. 31. Courtépée donne cette explication : Les uns dérivent ce mot du grec, ce qui annoncerait l’antiquité de ces écoles avant les Romains ; d’autres de Menius, censeur à Rome, qui le premier posa sur des colonnes de grandes avancées en forme de plancher, d’où l’on découvrait ce qui se passait en la place publique : c’était une galerie pour se promener, in Description du duché de Bourgogne, T. III, p. 512, r. 1.
  4. Jean Richard, p. 71.
  5. Eumène, Panégyriques latins, V, 4, 1
  6. Panégyriques latins, VIII, 4, 2-3
  7. Xavier Loriot et Daniel Nony, La crise de l'Empire romain, 235–285, Paris, Armand Colin, 1997, (ISBN 2-200-21677-7), p. 79-80
  8. E. Thévenot, Les voies romaines de la cité des Éduens, 1969, Bruxelles, coll. Latomus, p. 98.
  9. Jacky Besnard, Les agglomérations antiques de Côte d'Or, Presses universitaires de Franche-Comté, , 303 p. (ISBN 978-2-2516-0522-7, lire en ligne), p. 157.
  10. a et b Gérard Coulon, Les Gallo-Romains : vivre, travailler, croire, se distraire - 54 av. J.-C.-486 ap. J.-C., Paris : Errance, 2006. Collection Hespérides, (ISBN 2-87772-331-3), p. 21
  11. Robert Baschet, Autun, ville d'art, Nouvelles éditions latines, , p. 2
  12. Rebourg 1998, p. 164.
  13. Rebourg 1998, p. 165.
  14. a et b Quid 2004, de Dominique et Michèle Frémy, édition Robert Laffont, p. 444 b
  15. J. Richardson, A note on the architecture of the Theatrum Pompei in Rome, American Journal of Archaeology, 91, 1987, p. 123-126.
  16. Rebourg 1998, p. 188.
  17. Barrière 2021, p. 497-498
  18. Labaune 2014, p. 76.
  19. Labaune 2014, p. 74.
  20. revue Gallia, 1979, vol 37-2 page 454
  21. R. Goguey, Le théâtre du « temple de Janus » à Autun les données de la photographie aérienne et l'environnement archéologique, in : Spectacula II, Le théâtre antique et ses spectacles, 1992, Actes du Colloque de Lattes, 27-30 avril 1989, p. 45-56.
  22. Rebourg 1998, p. 141-236.
  23. « Autun : un four de potier unique dans le monde Romain reconstruit à l'identique », Francetvinfo, 11 juin 2020.
  24. Un vase en verre exceptionnel trouvé sur une nécropole de l'époque romaine tardive à Autun, Franceinfo, 15-11-2020.
  25. a et b Pierre Barthélémy, « Les secrets de l'exceptionnel vase romain découvert à Autun », Le Monde,‎ .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alain Rebourg et Christian Goudineau, Autun antique : guides archéologiques de la France, Paris, Ed. du Patrimoine, , 128 p. (ISBN 978-2-85822-693-1)
  • Alain Rebourg, « L'urbanisme d'Augustodunum (Autun, Saône-et-Loire) », Gallia, t. 55,‎ , p. 141-236 (ISSN 0016-4119, lire en ligne, consulté le )
  • Edmond Frezouls † dir., Les villes antiques de la France, III. Lyonnaise I : Autun - Chartres - Nevers, De Boccard, 1997, 308 p., ill.
  • Jacques Marseille, Journal de Bourgogne, Paris, Larousse, , 335 p. (ISBN 978-2-03-575104-1)
  • Lucien Febvre, Histoire de Franche-Comté, Lons-le-Saunier, Éditions Arts et Littérature, coll. « Les vieilles provinces de France », , 260 p. (ISBN 978-2-912351-36-4)
  • Yannick Labaune, Autun antique, Paris, Ed. du Patrimoine, coll. « Guides archéologiques de la France », , 144 p. (ISBN 978-2-7577-0331-1)
  • Jean Richard, Histoire de la Bourgogne, Éditions Privat, , 491 p. (ISBN 978-2-7089-1680-7)
    Collectif, sous la direction de J. Richard : Joseph Joly, Roland Martin, Jean Marilier, Pierre Quarré, Daniel Ligou, Pierre Lévêque, François Caron
  • Charles Commeaux, Histoire des Bourguignons, Fernand Nathan, coll. « Dossiers de l'Histoire »,
    Deux tomes. Tome Ier: Des origines à la fin du règne des ducs. Tome II : De Charles le Téméraire à nos jours
  • *Vivien Barrière, « L’archéologie du bâti confrontée aux travaux des antiquaires. Bernard de Montfaucon et les antiques d’Autun », dans Véronique Krings, L’Antiquité expliquée et représentée en figures de Bernard de Montfaucon. Histoire d'un livre. Volume I, Bordeaux, Ausonius, (ISBN 978-2-35613-422-6), p. 491-517.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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