Aubigné-Racan — Wikipédia

Aubigné-Racan
Aubigné-Racan
Les ruines du théâtre sur le site archéologique de Cherré.
Blason de Aubigné-Racan
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes Sud Sarthe
(siège)
Maire
Mandat
Nicolas Mourier
2020-2026
Code postal 72800
Code commune 72013
Démographie
Gentilé Aubignanais
Population
municipale
2 103 hab. (2021 en diminution de 2,59 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 27″ nord, 0° 16′ 04″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 118 m
Superficie 32,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Lude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Aubigné-Racan
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Liens
Site web www.aubigne-racan.com

Aubigné-Racan est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 2 103 habitants[Note 1] (les Aubignanais).

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine (Maine blanc).

Géographie[modifier | modifier le code]

Aubigné-Racan est une commune du Haut-Maine, située à la limite du Haut-Anjou sarthois, surnommé le Maine angevin. Elle est à environ quarante kilomètres au sud du Mans et soixante kilomètres au nord-ouest de Tours. La commune est bordée par le Loir et traversée par quelques ruisseaux dont celui du Gruau.

Les principaux lieux-dits sont la Morinière, la Touche, la Belle Croix, la Bercellerie, Vaugrivaux, la Beaussonière, la Carte, les Coutières, Cherré, Gennevraye, Loyneau et la Loute[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Luché-Pringé à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 658,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aubigné-Racan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,3 %), prairies (27,3 %), forêts (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), zones urbanisées (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Aubigné-Racan tire son nom du latin albus qui signifie blanc et de Racan, poète né en cette commune en 1589, dont le nom fut rattaché à celui de la commune en 1934[Note 4]. L'un des actes notariés rédigés par la canoniale de Saint-Martin de Tours mentionne l'existence de nombreuses possessions du chapitre tourengeau. À cette occasion, le document religieux, émis à l'époque carolingienne, apporte le témoignage que la cité d'Aubigné-Racan était alors connue sous le toponyme d'Albiniacus[15]. En outre, d'autre registres paroissiaux d'époque médiévale plus tardive évoquent le toponyme « Albigneyo »[16]. Le terme « Albiniacus » associé, entre autres, à la cité d'Aubigné-Racan, richement documenté sur le territoire gaulois, et plus globalement au sein de l'aire géographique celte, fait référence à la couleur blanche[17]. Selon l'épigraphiste spécialisé en langues celtiques Xavier Delamarre, le toponyme Albiniacus trouve sa racine dans le suffixe albos (ou albios, albanos) qui signifie « monde d'en-haut », « ciel », « blanc »[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est sans doute occupé par l'homme depuis le Néolithique, comme l'indique la présence de plusieurs dolmens dont celui du Colombier.

Le site archéologique gallo-romain de Cherré montre qu'Aubigné devait être un centre important à partir du Ier siècle.

Sous l'Ancien Régime, la commune dépendait de la sénéchaussée angevine de Baugé et du tribunal spécial ou « greniers à sel » du Lude.

Aubigné-Racan était une dépendance du comté angevin du Lude, cette seigneurie du Haut-Anjou comprenait plusieurs fiefs dans le Maine angevin.

Au début du XIXe siècle, les archives départementales sarthoises font état d'une route (la « route numéro 9 »), raccordant la commune de Château du Lude à une ancienne voie, la « route numéro 159 », reliant Tours au Mans[19]. Le matériau ayant servi à la construction de cet axe de circulation sarthois, le grès roussâtre, est issu de deux carrières : l'une localisée à Aubigné-Racan, l'autre située sur la ville voisine de Coulongé[19],[20]. À la même époque, au lieu-dit de « la butte du Fourneau », une autre carrière est ouverte sur les terres aubignanaises. Cette autre zone d'exploitation minéralogique fournit deux types de matériaux nécessaires : l'un à caractère calcaire et l'autre de nature argileuse[20]. Les pierres extraites de cette carrière entrent, notamment, dans la composition d'une chaux fabriquée localement (pour la roche calcaire), ainsi que dans la constitution de tuiles (pour la pierre argileuse)[20]. Ce second site d'extraction ferme ses portes en [20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1945 octobre 1947 Marcel Renaud    
octobre 1947 mars 1959 Armand Millet    
mars 1959 mars 1965 André Bardet    
mars 1965 mars 1971 Armand Millet    
mars 1971 février 1991
(décès)
Alexandre Hérin DVD Exploitant de carrières, conseiller général de Mayet (1970 → 1991)
1991 juin 1995 Octave Baudouin    
juin 1995[21] juillet 2014[22]
(décès)
Michel Royer[23] DVD Chef d'entreprise retraité, conseiller général de Mayet (1991 → 2014), président de la CC Aune et Loir (? → 2014)
septembre 2014[24] mai 2020 Philippe Leguet DVD Retraité de l'industrie
mai 2020[25] En cours
(au 19 janvier 2021)
Nicolas Mourier DVD Chef d’entreprise, 9e vice-président de la CC Sud Sarthe[26] (2020 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 2 103 habitants[Note 5], en diminution de 2,59 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6641 6111 8042 0061 9541 9711 9741 9722 052
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0112 2762 4062 3772 2862 3122 2072 0441 932
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9351 8701 8652 1562 1452 1201 8661 7681 782
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 8661 8581 9421 9232 1032 1002 0802 0752 157
2018 2021 - - - - - - -
2 1152 103-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifesttaions culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Foire, les 2e samedi de mars et 1er samedi de septembre.
  • Marché, les samedis matin.
  • Pêche : la quasi-totalité des associations de la commune organisent leur concours de pêche dans l'étang communal.
  • Les Colorés d'Aubigné, manifestation sportive et familiale s'accompagnant d'un festival communal créée en septembre 2021[31]. Une seconde édition est prévue en 2023[réf. nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

La commune dispose de nombreuses entreprises, usines et commerces, une agence postale, deux boulangeries, une supérette, un buraliste, un restaurant, un arrêt de train, etc.

Aubigné-racan a deux écoles : une publique et une privée.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Manoir de Champmarin, des XVe, XVIe, XVIIe et XXe siècles, maison natale du poète Racan. L'édifice est partiellement inscrit au titre des Monuments historiques depuis 1978[32].
  • Moulin de Cherré, des XVIIe, XIXe et XXe siècles, sur la rive droite du Loir.
  • Église Saint-Martin-de-Vertou des XIIe, XVIe et XIXe siècles, de type roman, son haut-relief[33], son groupe sculpté[34] et sa chaire à prêcher[35], tous trois du XVIIe siècle, ainsi que son lutrin[36] du XVIIIe siècle, tous classés monument historique au titre d'objet en 1981.
  • Château de Bossé (ou Bocé), des XVIe XVIIIe et XIXe siècles.
  • Dolmen de la Pierre, menhir du château de Bossé, allée couverte du Colombier et nécropole néolithique de Cherré.
  • Camp d'Éperon de Vaux, enceinte et habitat du Néolithique.
  • Site archéologique de Cherré, du Ier au IIIe siècle, inscrit[37] et partiellement classé[38] (théâtre) au titre des monuments historiques.
  • Château de Gennevraye, des XVIIe et XIXe siècles. Il est la propriété d’Étienne Du Breuil, maître des requêtes de l'Hôtel du Roi en 1574, époux en 1568 de Jeanne de Sourches, sœur du seigneur de Malicorne, futur gouverneur du Poitou .

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Étienne Du Breuil. Conseiller au Parlement de Paris, seigneur de La Genevraye. Il acquiert la charge de maître des requêtes de l'Hôtel du Roi par abandon de sa charge de conseiller au Parlement (1574). Il vit à Paris en l'ancien hôtel des évêques de Troyes, rue de Bièvre. Il épouse en 1568 Jehanne de Chourses, veuve de Gallois Le Bailleul, sœur du seigneur de Malicorne (futur gouverneur du Poitou). Il accompagne Henri de Navarre lors de la reprise de la ville de Rouen. Le 1er février 1596, il est insulté par Henri IV après avoir insisté pour faire progresser les pouvoirs judiciaires des maîtres de requêtes de l'Hôtel (Journal de l'Estoile). Devenu seigneur de La Brosse, près de Montereau-fault-Yonne (alors nommé Guerchy), sa disgrâce entraîne des poursuites des créanciers.
  • Honorat de Bueil (1589-1670), seigneur de Racan, poète.
  • Paul-Charles Delaroche (1886-1914), né à Aubigné, dessinateur, excellent illustrateur des arts du spectacle, travaille pour diverses revues dont Le Monde artiste illustré, la Revue théâtrale, Comœdia, le Théâtre à Paris.
  • Marcel Royer ( - ), né à Aubigné-Racan, résistant, arrêté, torturé et fusillé par les Allemands, au camp de Souge (Gironde)[39].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Aubigné-Racan Blason
D'azur au croissant d'argent accompagné de six croisettes potencées au pied fiché d'or, trois rangées en chef et trois rangées en pointe.
Détails
Armoirie de la famille de Bueil.
Adopté par la municipalité.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Décret présidentiel du 5 juin 1934.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Abbé Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules de la France, vol. 1, Dessaint et Saillant, , p. 523.
  2. « Aubigné-Racan » sur Géoportail..
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Aubigné-Racan et Luché-Pringé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Luché-Pringé », sur la commune de Luché-Pringé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Luché-Pringé », sur la commune de Luché-Pringé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Hélène Noizet, « Le centre canonial de Saint-Martin de Tours et ses domaines périphériques en Val de Loire », dans Hélène Noizet et al., Annales de Bretagne et des Pays de l'Ouest, vol. 109, t. 2, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, (lire en ligne), pages 4 et 5 ; note 21.
  16. (en) William J. Courtenay et Eric D. Goddard, Rotuli Parisienses (2 Vol. Set) : Supplications to the Pope from the University of Paris, vol. III: 1378-1394, BRILL, (lire en ligne), p. 1037.
  17. Przemysław Dębowiak, « Les couleurs de noms de lieux habités en France : Classement par couleur », Romanica Cracoviensia, Jagiellonian University Press - Université de Cracovie,‎ , p. 23 (lire en ligne, consulté le ).
  18. Xavier Delamarre, « Dictionnaire : Une approche linguistique du vieux-celtique continental », dans Xavier Delamarre et Pierre-Yves Lambert (préface), Dictionnaire de la langue gauloise, Paris 4e, éditions Errance, coll. « Collection des Hespérides », (ISBN 978-2-87772-237-7, ISSN 0982-2720), p. 36 et 37.
  19. a et b Julien-Rémy Pesche, Dictionnaire statistique de la Sarthe, Monoyer, (lire en ligne), pages 364 et 365.
  20. a b c et d J. Manivit, M. Rioult, S. Debrand-Passard, R. Brossé et al., « Note explicative de la feuille Le Lude à 1/50000 », dans J. Manivit, M. Rioult, S. Debrand-Passard, R. Brossé et al., Carte géologique de la France 1/50000, Orléans, Éditions du BRGM, (ISBN 2-7159-1425-3, lire en ligne [PDF]), pages 31 et 32.
  21. « Municipales : Michel Royer, maire d’Aubigné-Racan, candidat pour un 4e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. « Nécrologie. Décès de Michel Royer, maire d'Aubigné-Racan », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. Réélection 2014 : « Aubigné-Racan (72800) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. « Philippe Leguet, élu maire, s'entoure de cinq adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. « Municipales 2020. Aubigné-Racan : Nicolas Mourier est le nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Le Maine libre (consulté le ).
  26. [1]
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Aubigné-Racan. 1 000 participants colorés et mouillés, mais heureux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. « Manoir de Champmarin », notice no PA00109666, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Haut-relief, cadre : L'adoration des bergers », notice no PM72000021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. « Groupe sculpté : L’Éducation de la Vierge », notice no PM72000020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. « Chaire à prêcher », notice no PM72000018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. « Aigle-lutrin », notice no PM72000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « Complexe antique de Cherré », notice no PA00110006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Théâtre gallo-romain de Cherré », notice no PA00109667, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. "Marcel Royer, résistant, honoré 73 ans après sa mort", Ouest-France, 10 mai 2015.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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