Assérac — Wikipédia

Assérac
Assérac
Mairie.
Blason de Assérac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Presqu'île de Guérande Atlantique
Maire
Mandat
Joseph David
2020-2026
Code postal 44410
Code commune 44006
Démographie
Gentilé Asseracais
Population
municipale
1 880 hab. (2021 en augmentation de 4,39 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 25′ 48″ nord, 2° 23′ 21″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 49 m
Superficie 32,91 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guérande
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.asserac.fr/

Assérac est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait partie du Pays de Guérande, un des pays traditionnels de Bretagne. On y a parlé le breton jusqu'au début du XIXe siècle.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune d'Assérac dans le département de la Loire-Atlantique.

Situation[modifier | modifier le code]

Assérac est situé au nord de la presqu'île de Guérande, à 7 km au nord de cette ville, au nord-ouest du parc naturel régional de Brière.

Littoral[modifier | modifier le code]

Assérac présente une importante façade littorale, formée par :

  • le traict de Pen Bé, un bras de mer dans lequel se trouve exploitations ostréicoles et mytilicoles, ainsi que plusieurs plages ;
  • la grande baie de Pont-Mahé (qu'elle partage avec la commune de Pénestin) appréciée par les pratiquants des sports de glisse et des sports équestres.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Herbignac à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 886,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Assérac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,3 %), zones agricoles hétérogènes (27,5 %), prairies (12,4 %), forêts (8,7 %), zones humides côtières (5,4 %), zones urbanisées (3,2 %), zones humides intérieures (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), eaux continentales[Note 2] (1,2 %), eaux maritimes (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Azarac en 1160 (archives de la Loire-Inférieure)[16],[17]; Asserac en 1287[18]; Acérac au XVIIe siècle et XVIIIe siècle[16].

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -acum[19],[17], suffixe d'origine gauloise locatif à l'origine, puis de propriété. Il s'est régulièrement fixé sous forme de terminaison -ac dans les régions où le breton est parlé ou a été parlé, ailleurs à l'ouest, dans les régions de langue d'oïl, il a évolué en .

L'identification du premier élément, probablement un anthroponyme, divise les toponymistes. Les uns considèrent, d'après la forme la plus ancienne, qu’Assérac est une altération d’Azarac et proposent le nom d'homme latin hypothétique *Atiarius (dérivé d’Atius)[19], les autres suggèrent de reconnaître le nom de personne latin Aceraeus[17].

En breton, le nom de la commune est Azereg[réf. nécessaire]. Elle possède aussi un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Aserac selon l'écriture ELG ou Asséra selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [ɑ̈.se.rɑ̈][20],[21].

Le composé L'Armor-d'Assérac désigne tout le rivage de la mer dans l’étendue de la paroisse d’Assérac, avant le XVe siècle (Archives de L.-Inf., B 1484)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le village fait partie du territoire de la tribu gauloise des Namnètes[22].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au VIe siècle, les Bretons s'installent à l'est de la Vilaine et dominent dès lors la presqu'île guérandaise. Ils laissent une trace importante dans la toponymie locale : plus de plus 60% des micro-toponymes sont d'origine bretonne[18].

Deux compagnons d'un certain Bernard (fondateur de La Roche-Bernard, selon la tradition) créent, au XIe siècle un oratoire à Pen-Bé. Ils s'établissent à Faugaret. Jusqu'au XIIe siècle, c'est là que les seigneurs d'Assérac résident. Ensuite, le siège de la seigneurie se situe à Herbignac. Le territoire fait partie des possessions des familles de Rochefort et de Rieux.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En septembre 1574, Jean (5) de Rieux est fait marquis d'Assérac[22]. Le marquisat passe aux mains de Nicolas Fouquet de 1656 à 1658[22], avant de revenir à la maison de Rieux. En 1679, Jean-Gustave de Rieux vend son marquisat à la famille de Lopriac. Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, Pénestin faisait partie d'Assérac[23].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La dernière marquise de la lignée, Félicité de Lopriac, est guillotinée en 1794, et le dernier seigneur d'Assérac, Louis Charles Marie de Rieux d'Assérac, est fusillé en 1795.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Jusqu'alors rurale, la commune est progressivement transformée à partir de l'ouverture, en 1907, de la ligne de chemin de fer reliant Guérande à Herbignac. Alors que seules quelques villas avaient été construites, elles sont dès lors une vingtaine. La ligne de chemin de fer est fermée en 1939[23].

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'occupation allemande se prolonge à Assérac, comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire de la Loire, durant les 9 mois de l'épisode de la poche de Saint-Nazaire. Alors que la région est libérée en , la reddition effective de la poche intervient le , trois jours après la capitulation de l'Allemagne.

Le développement balnéaire est tardif : la période 1960-1970 voit l'apparition d'une zone pavillonnaire stéréotypée, notamment à Pont-Mahé. À la fin du XXe siècle, ce sont les attraits des activités liées à l'utilisation du vent qui font la renommée de la commune, urbanisée principalement le long du littoral[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 mai 1976[25]
(décès)
Jean Nogues    
mai 1976 mai 1979[26]
(décès)
André Coquard[Note 5]   Entrepreneur de maçonnerie retraité
juin 1979 juin 1995 André Ferré   Chef de travaux
juin 1995 mars 2008 Alain Turk[27] DVD-UMP Ancien éducateur
Vice-président de Cap Atlantique
mars 2008 mars 2014 Marcel Bourigault DVG Commerçant
mars 2014 mai 2020 Guy Le Gal DVG Ostréiculteur
mai 2020[28] En cours Joseph David SE Cadre retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Selon le classement établi par l'Insee, Assérac fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie d'Herbignac. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[29]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 86 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 14 % dans des zones « très peu denses »[30].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 1 880 habitants[Note 6], en augmentation de 4,39 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3491 3461 4241 4161 7421 7081 6551 7091 786
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7571 6781 8091 8281 8511 8451 8661 8171 780
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6781 7171 7551 5331 4401 3361 3141 2131 218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1791 1511 0791 1281 2391 3611 5681 6681 789
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8011 8751 880------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 896 hommes pour 922 femmes, soit un taux de 50,72 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,9 
5,8 
75-89 ans
8,5 
24,8 
60-74 ans
22,2 
21,6 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
18,2 
12,6 
15-29 ans
12,2 
18,0 
0-14 ans
17,5 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Économie[modifier | modifier le code]

Depuis la deuxième moitié du XXe siècle, les principales activités économiques de la commune sont la polyculture, l'ostréiculture, l'exploitation des salines et les activités liées au tourisme[22].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Hilaire.
Monument aux morts des guerres de 1914-1918 et 1939-1945.

La baie de Pont-Mahé, située sur le territoire de la commune, représente un site naturel notable et draine depuis le milieu des années 2000 une intense activité touristique et de loisirs. La conjonction d'une étendue d'eau protégée et de vents soutenus fait de la baie un spot de planche à voile et de kitesurf renommé.

L'église Saint-Hilaire, consacrée le , est de style néo-gothique. Elle remplace un ancien édifice de type roman[37].

Le monument aux morts est situé dans le cimetière communal[38]. La liste des soldats morts lors des deux guerres mondiales y figurant se trouve sur le relevé no 35513 du site MémorialWebGen.org[39].

Le manoir de Kerougas.

Le château du Quenet, propriété successive de la famille Poictevin de La Rochette, puis des Le Beschu de Champsavin.

Emblèmes[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Gironné d'or et d'azur de huit pièces.
Commentaires : ces armoiries (toute comme la devise de la ville) sont celles de l'ancienne famille d'Assérac (écartelé d'or et d'azur), sortie de Tournemine et connue dès le XIe siècle. Assérac est devenu marquisat en 1574 au profit de Jean de Rieux. Blason (délibération municipale du ) enregistré le [22],[40].

Devise[modifier | modifier le code]

La devise d'Assérac : Franc à tout venant[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre-Louis Philippe et Jean-Luc Flohic (dir.), Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. I, Charenton-le-pont, Flohic éditions, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1383 p. (ISBN 978-2-84234-040-7, BNF 37200392), p. 455-458.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Athanase Marie Anne de Couëssin, né en à Guérande.
  4. Alain Marie Joseph Le Beschu de Champsavin, né le à Mézières-sur-Couesnon, décédé le à Assérac. [1]
  5. André Henri Louis Marie Coquard, né le à Assérac, décédé le à Assérac. [2]
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Assérac et Herbignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Herbignac », sur la commune de Herbignac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Herbignac », sur la commune de Herbignac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c Henri Quilgars, Dictionnaire topographique du département de la Loire-Inférieure, Nantes, 1906, p. 5 (lire en ligne sur DicoTopo) [3]
  17. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, 1990, p. 485, entrée no 7530, 708 pages, (ISBN 9782600028837) (lire en ligne) [4]
  18. a et b Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézet, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 322
  19. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 32a
  20. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  21. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
  22. a b c d et e Pierre-Louis Philippe et Jean-Luc Flohic 1999, p. 455.
  23. a b et c « Présentation de la commune d'Assérac »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
  24. a et b [5]
  25. « Nécrologie : M. Jean Nogues, maire », Journaux de Loire,‎
  26. « Nécrologie : Mort de M. André Coquard maire d'Assérac », Ouest-France (archives du journal),‎
  27. « Municipales : le maire d'Assérac ne se représente pas », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Assérac. Un premier mandat de maire pour Joseph David », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. « Commune d'Assérac (44006) », Insee (consulté le ).
  30. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Assérac (44006) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  37. Pierre-Louis Philippe et Jean-Luc Flohic 1999, p. 458.
  38. Coordonnées du monument aux morts : 47° 25′ 51″ N, 2° 23′ 23″ O.
  39. Liste des noms figurant sur le monument aux morts d'Assérac, sur MémorialWebGen.
  40. a et b « Un peu d'histoire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), mairie d'Assérac (consulté le ).

Références externes[modifier | modifier le code]

  • Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).