Ambilly — Wikipédia

Ambilly
Ambilly
La place du 7 au 11 janvier 2015, devant la mairie.
Blason de Ambilly
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Saint-Julien-en-Genevois
Intercommunalité Annemasse - Les Voirons Agglomération
Maire
Mandat
Guillaume Mathelier (PS)
2020-2026
Code postal 74100
Code commune 74008
Démographie
Gentilé Ambilliens
Population
municipale
6 166 hab. (2021 en diminution de 0,15 % par rapport à 2015)
Densité 4 933 hab./km2
Population
agglomération
194 216 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 45″ nord, 6° 13′ 29″ est
Altitude Min. 410 m
Max. 435 m
Superficie 1,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Genève (SUI)-Annemasse (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Genève (SUI)-Annemasse (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Annemasse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ambilly.fr

Ambilly [ɑ̃biji] est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève.

Géographie[modifier | modifier le code]

Ambilly se situe dans la banlieue nord d'Annemasse, à la frontière avec la Suisse. Elle est la plus petite commune du département de la Haute-Savoie.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Thônex (Drapeau de la Suisse Suisse, GE) Puplinge (Drapeau de la Suisse Suisse, GE) Ville-la-Grand Rose des vents
N Annemasse, Ville-la-Grand
O    Ambilly    E
S
Gaillard Annemasse

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ambilly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 35 communes[4] et 194 216 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (99,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (98,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), terres arables (0,2 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Ambilly (graphie de Conflans) ou Ambelyi (ORB)[10].

Histoire[modifier | modifier le code]

Période antique[modifier | modifier le code]

Il y a de nombreux vestiges romains, notamment un aqueduc et des objets (tuiles, amphores, poteries, etc.)[11]. L'ancien site d'implantation devait se situer entre le Château Pictet et la Tour[11]. Il s'agit probablement d'une villa qui a laissé son nom à la commune, on trouve en effet les formes Ambiliaci en 859 et Ambilliacum en 1022[11]. Les plus grandes découvertes sont mises au jour avec la construction de l'hôpital en 1965[11].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Entre 1780 et 1837, Ambilly fait partie de la province de Carouge, division administrative des États de Savoie.

Le traité de Turin de 1816 fixe la frontière sur le Foron et ampute la commune du territoire au nord de celui-ci[12]. Néanmoins elle reste propriétaire à titre privé des "communaux d'Ambilly"[12]. La commune d'Ambilly devient une commune distincte le à la suite de la dissolution de la commune d’Ambilly-Gaillard par le roi de Sardaigne, Charles-Albert[13].

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 3], dont 31 pour la commune[16],[17]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[18].

En 1970, Ambilly vend 10 hectares des communaux à Genève[12]. En 2019, Ambilly vend 70 % des 20 hectares restants et loue 30 % en longue durée (contrat appelé bail emphytéotique en France et rente de superficie en Suisse)[12].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1969 juin 1995 Jean Beauquis CD puis
UDF-CDS
Conseiller général du canton d'Annemasse-Nord (1973 → 1985)
juin 1995 mars 2001 Angel Erbeia UDF  
mars 2001 mars 2008 Jean-Michel Duret UDF Vice-président du SIFOR[19], de la CARA et du CDG
mars 2008 En cours
(au 15 juillet 2020)
Guillaume Mathelier PS Professeur de faculté
Vice-président d'Annemasse Agglo
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Ambilliens[20].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 6 166 habitants[Note 4], en diminution de 0,15 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1721611616031 134288224218233
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
192186180222332352411508509
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
5879581 3911 8162 3352 5903 2544 3375 582
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
5 2245 9045 8085 7455 7285 8906 1756 0146 166
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune d'Ambilly est située dans l'académie de Grenoble. En 2015, elle administre une école primaire « la Fraternité » qui regroupe 252 élèves[25], une école maternelle « la Paix » (107 enfants)[26] et l'école élémentaire « la Paix » qui compte 159 élèves[27].

Sports[modifier | modifier le code]

La commune abrite le gymnase municipal Lucien Veyrat. Dans ce gymnase de deux étages, plusieurs associations viennent régulièrement pratiquer leur sport. Il y a notamment le club d’athlétisme, de football ou encore de tennis de table.

Tennis de table[modifier | modifier le code]

Le club de tennis de table de l'Entente Pongiste Ambilly a été fondé en 1958 par Lucien Veyrat. Après avoir hissé sa première équipe en nationale 2 dans les années 80, le club a connu une période plus délicate qui a failli conduire à l'extinction. Heureusement, depuis quelques années, l'EPA a connu un vif renouveau qui se traduit par le nombre de licenciés en constante augmentation et par des résultats de plus en plus probants chez les jeunes joueurs. En , le club accède à la régionale 2. Avec plus d'une centaine de membres et près de 70 jeunes, l'Entente Pongiste se positionne comme un des plus grands clubs savoyards.

Médias[modifier | modifier le code]

Radios et télévisions[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines[modifier | modifier le code]

La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Faucigny, le Courrier savoyard.

Internet[modifier | modifier le code]

Ambilly a été récompensée pour sa politique Internet par le label « Ville Internet » en 2011 et 2014 par @@[Note 5].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Clos Babuty, grande maison de style jurassien, jadis propriété de Joseph Babuty qui fut maire d'Ambilly pendant 40 ans. La maison et le clos ont été vendus par la famille de Buttet, descendant des Babuty, à la commune d'Ambilly en 1995.

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Parc Jean-Beauquis, aménagé en 1978-79 par la municipalité Beauquis (1969-1995) à la suite du don du terrain par la baronne Jacques de Buttet du Bourget, descendante de Joseph Babuty.

La commune avait vu une partie de son territoire cédé au canton de Genève à la suite du traité de Paris (1815). Librement cultivables par les habitants, ces 20 hectares de terres ont alors été exploitées par les habitants qui traversaient chaque jour la frontière. En 2012, la commune a décidé de vendre 70 % du terrain et de louer le reste[29]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

La mairie abrite un tableau encadré de Maurice Boitel prêté par le Fonds National d'Art Contemporain : "le port de la Meule, Ile d'Yeu,"1960, huile sur toile, 41x120cm, signé en bas à gauche[réf. nécessaire]. Ce tableau appartient à l'une des plus intéressantes périodes du peintre. De cette époque, il ne reste que peu de tableaux en France, la quasi-totalité ayant été vendue en Grande-Bretagne et aux États-Unis.[réf. nécessaire]

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Ambilly

Les armes d'Ambilly se blasonnent ainsi :

D'azur à une rivière d'argent en pal passant sous un pont d'or mouvant de la pointe, chapé, à dextre, aussi d'argent chargé d'une feuille de chêne de sinople et, à senestre, aussi d'or chargé d'une feuille de chêne aussi de sinople, au chef de gueules chargé d'une croix d'argent.

Les éléments héraldiques utilisés s'expliquent ainsi : les trois couleurs fondamentales : l'argent, l'azur et l'or, proviennent des trois familles qui ont occupé une situation prédominante à Ambilly, respectivement les Bochets, les Voland et les Seyssel.

  • Les nobles Bochet, originaires d'Évires, fixés à Ambilly à la fin du XVe siècle, en la personne de maître Hugonin Bochet, notaire, soit sept générations vivront dans la commune. Leurs armoiries étaient : d'argent à trois fasces de sable.
  • Les nobles Voland (ou de Volland) sont venus à Ambilly par mariage. Égrège[31] Claude Voland épousa Françoise Bochet, il fut anobli en 1567 et reçut les armoiries suivantes : d'azur à trois ailes d'or. Son petit-fils, Noble Philibert Voland, seigneur de Compois est également qualifié seigneur d'Ambilly.
  • La maison de Seyssel : Antoine de Seyssel, seigneur de Sothonod, en épousant Diane de Voland, héritière de sa famille, devient seigneur d'Ambilly, titre qui restera celui de ses descendants jusqu'au milieu du XVIIIe siècle.

Les Seyssel, seigneurs d'Ambilly, descendaient d'une des plus anciennes familles de la noblesse savoyarde, leurs armes étaient : gironné d'or et d'azur.

La rivière d'argent mise en pal, figure le Foron qui traverse le territoire de la commune d'Ambilly.

Le pont frontière de la Pierre à Bochet est symbolisé par le pont d'or.

Les deux feuilles de chêne sont représentatives des anciennes chênaies qui occupaient jadis une grande étendue des terres d'Ambilly. Les communes genevoises voisines dont une partie du territoire actuel appartenait autrefois à la Savoie, Chêne-Bougeries, Chêne-Bourg et Thônex (Chêne-Thônex divisé en 1869, en Chêne-Bourg et Thônex) ont également dans leurs armoiries soit un chêne (Chêne-Bourgeries) soit des feuilles de chêne (Chêne-Bourg et Thônex).

La devise PARVULA SED NON MINIMA signifie : La plus petite mais pas des moindres.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[14],[15].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Le palmares des Villes Internet (1999 à aujourd'hui) sur le site officiel de l’association « Ville Internet » indique pour Ambilly[28] :
    • 2011, 2014 « @@ ».
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  11. a b c et d Pierre Broise, « Antiquités gallo-romaines du Faucigny », Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, vol. 3, t. XVIII,‎ , p. 235-238, « Ambilly » (lire en ligne).
  12. a b c et d Christian Lecomte, « Les Communaux d’Ambilly, histoire d’un gros lot à la frontière franco-genevoise », Le Temps,‎ (lire en ligne).
  13. Stéphane Grosjean, « Ce riche patrimoine de Gaillard encore trop méconnu de la population », sur Le Messager, .
  14. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  15. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
  16. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 20.
  17. Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, lire en ligne).
  18. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
  19. Syndicat Intercommunal du Foron
  20. « Ambilly », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Haute-Savoie (74) > Ambilly > École »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  26. « Haute-Savoie (74) > Ambilly > École »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  27. « Haute-Savoie (74) > Ambilly > École »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  28. « Liste des Villes Internet »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ) (année à sélectionner)
  29. « Une commune touche 20 ans de budget municipal en vendant des terrains en Suisse », lepoint.fr, 22/02/2012.
  30. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  31. « ÉGRÈGE adj., masc, titre ou qualité qu'on donnait quelquefois dans les actes du quinzième siècle à un homme d'un grand savoir, et d'une grande probité ; il accompagnait ordinairement celui de noble, ou de magnifique. »

    — Nicolas Nicolas Viton de Saint-Allais, Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France, Paris, (lire en ligne)

    .