Alkétas Panagoúlias — Wikipédia

Alkétas Panagoúlias
Image illustrative de l’article Alkétas Panagoúlias
Alkétas Panagoúlias, entraîneur de l'Olympiakos (1986).
Biographie
Nationalité Grec
Naissance
Thessalonique (Grèce)
Décès (à 78 ans)
Vienna, Virginie (États-Unis)
Poste Attaquant puis entraîneur
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1951-1962 Aris Salonique
1962-1965 Atlas Soccer Club
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
1967-1971 Atlas Soccer Club
1973-1976 Grèce 05v 05n 06d
1977-1981 Grèce 12v 10n 17d
1981-1983 Olympiakos 30v 20n 08d
1983-1985 États-Unis 06v 08n 08d
1983 Team America
1985-1987 Olympiakos 38v 12n 14d
1988-1990 Aris Salonique 17v 17n 13d
1991-1992 APO Levadiakos 05v 06n 08d
1992-1994 Grèce 06v 05n 08d
1997 Iraklis Thessalonique 10v 04n 08d
1999 Aris Salonique 06v 00n 02d
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
Dernière mise à jour : 22 novembre 2013

Alkétas Panagoúlias (en grec : Αλκέτας Παναγούλιας, né le à Thessalonique, et mort le ) est un footballeur, puis entraîneur de football grec.

Biographie[modifier | modifier le code]

Ancien joueur de l'Aris Salonique, Panagoulias a commencé sa carrière d'entraîneur aux États-Unis, à l'Atlas Soccer Club de New York. De retour en Grèce, il devint l'assistant du sélectionneur de l'équipe de Grèce, le nord-irlandais Billy Bingham en 1972. Il lui succéda un an plus tard et obtint un succès majeur en qualifiant la Grèce pour la phase finale de l'Euro 1980.

La suite de sa carrière d'entraîneur se déroula alternativement en Grèce (entre Olympiakos avec lequel il remporte 4 titres de champion et l'Aris Salonique) et aux États-Unis (où il entraina notamment l'équipe américaine olympique aux JO de 1984).

Il fit son retour à la tête de la sélection grecque en 1992 et réussit à la qualifier pour la World Cup 1994 (première phase finale de coupe du monde pour la Grèce)[1].

Ses deux dernières expériences d'entraîneur eurent lieu à Iraklis (1996-1998) puis à l'Aris Salonique (1998-1999).

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Steve Goff, The Greek, Washington Post, 9 février 2007

Liens externes[modifier | modifier le code]