Alexander De Croo — Wikipédia

Alexander De Croo
Illustration.
Alexander De Croo en .
Fonctions
Premier ministre de Belgique
En fonction depuis le
(3 ans, 6 mois et 19 jours)
Monarque Philippe
Gouvernement De Croo
Législature 55e
Coalition PS-CD&V-Open VLD-MR-Vooruit-Ecolo-Groen
Prédécesseur Sophie Wilmès
Ministre fédéral des Finances

(1 an, 9 mois et 22 jours)
Premier ministre Charles Michel
Sophie Wilmès
Gouvernement Michel II
Wilmès I et II
Prédécesseur Johan Van Overtveldt
Successeur Vincent Van Peteghem
Ministre fédéral de la Coopération au développement

(5 ans, 11 mois et 20 jours)
Premier ministre Charles Michel
Sophie Wilmès
Gouvernement Michel I et II
Wilmès I et II
Prédécesseur Jean-Pascal Labille
Successeur Meryame Kitir
Ministre fédéral de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste

(4 ans, 1 mois et 28 jours)
Premier ministre Charles Michel
Gouvernement Michel I
Prédécesseur Aucun
Successeur Philippe De Backer
Ministre fédéral des Pensions

(1 an, 11 mois et 19 jours)
Premier ministre Elio Di Rupo
Gouvernement Di Rupo
Prédécesseur Vincent Van Quickenborne
Successeur Daniel Bacquelaine
Vice-Premier ministre

(7 ans, 11 mois et 9 jours)
Premier ministre Elio Di Rupo
Charles Michel
Sophie Wilmès
Gouvernement Di Rupo
Michel I et II
Wilmès I et II
Prédécesseur Vincent Van Quickenborne
Successeur Vincent Van Quickenborne
Président de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten

(2 ans, 10 mois et 10 jours)
Prédécesseur Guy Verhofstadt
Successeur Gwendolyn Rutten
Biographie
Date de naissance (48 ans)
Lieu de naissance Vilvorde (Belgique)
Nationalité Belge
Parti politique Open VLD
Père Herman De Croo
Diplômé de VUB
Université Northwestern
Profession Consultant
Résidence Le Lambermont (Bruxelles)

Alexander De Croo
Premiers ministres de Belgique
Vice-Premiers ministres de Belgique
Ministres des Finances de Belgique
Ministres de la Coopération au développement de Belgique

Alexander De Croo, né le à Vilvorde, est un homme d'État belge néerlandophone. Membre du parti libéral Open VLD, il est Premier ministre depuis le .

Fils de l'homme politique Herman De Croo, il commence sa vie politique en par une candidature infructueuse aux élections européennes. Six mois plus tard, il est élu président de l'Open VLD en remplacement de Guy Verhofstadt. Il s'illustre en en provoquant la chute du gouvernement fédéral d'Yves Leterme, ouvrant la plus longue crise politique de l'histoire belge.

Il est élu en bourgmestre de Brakel puis devient juste après vice-Premier ministre et ministre fédéral des Pensions du gouvernement Di Rupo. Sous les mandats de Charles Michel puis Sophie Wilmès, il est toujours vice-Premier ministre, ainsi que ministre de la Coopération au développement. Il abandonne en le portefeuille de l'Agenda numérique, qu'il détenait depuis , au profit de celui des Finances.

À la suite des élections législatives de mai 2019 et d’une longue crise politique, il est désigné co-formateur en avec Paul Magnette. Après le succès de leur mission, il devient Premier ministre d'une coalition de sept partis, succédant ainsi à Sophie Wilmès.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Alexander De Croo est le fils d'Herman De Croo, homme politique libéral néerlandophone, et de Françoise Desguin, avocate et juge suppléante. Il naît le à Vilvorde et a une sœur cadette, Ariane. Il est marié et père de deux enfants[1].

Il entretient des relations sexuelles tarifées avec une actrice porno, Eveline Dellai, dont il est fan[2].

Formation et vie professionnelle[modifier | modifier le code]

Alexander De Croo obtient en 1998 un master d'ingénieur commercial de la Vrije Universiteit Brussel (VUB), en collaboration avec la Solvay Business School[3]. Il complète ce cursus par une maîtrise en administration des affaires de l'université Northwestern, à Chicago[1].

Il commence à travailler en au sein du Boston Consulting Group (BCG), puis il fonde en une entreprise de conseil en propriété intellectuelle, baptisée Darts-ip[1].

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Président de l'Open VLD à 34 ans[modifier | modifier le code]

Alexander De Croo entre sur la scène politique en , à l'occasion des élections européennes du 7 juin 2009. Il s'y présente sur la liste que conduit l'ancien Premier ministre Guy Verhofstadt[4]. Occupant la 10e place parmi les candidats libéraux, il n'est pas élu tout en récoltant 47 779 voix de préférence[1].

Dans la perspective de la succession de Bart Somers à la présidence de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten, il annonce se présenter. Soutenu par le ministre fédéral Vincent Van Quickenborne et l'ancienne ministre flamande Patricia Ceysens, il est élu président du parti le après avoir recueilli 11 676 voix de militants, soit 55 % des suffrages exprimés. Il devance ainsi Marino Keulen, avec qui il avait défait Gwendolyn Rutten au premier tour[5]. Élu à l'âge de 34 ans, il n'a alors aucune expérience politique ou institutionnelle, n'ayant jamais exercé le moindre mandat[6].

Chute d'Yves Leterme et élections anticipées[modifier | modifier le code]

Le , Alexander De Croo annonce que l'Open VLD retire son soutien au gouvernement Leterme II, privant de facto le Premier ministre Yves Leterme d'une majorité à la Chambre des représentants. Les libéraux flamands justifient cette décision par leur refus de voir se poursuivre la négociation autour de la scission de l'arrondissement électoral Bruxelles-Hal-Vilvorde, sur laquelle les quatre autres partis de la majorité ainsi que les écologistes s'étaient mis d'accord[7].

Après que le gouvernement a remis sa démission et que le roi Albert II l'a acceptée à la surprise générale[8], la Chambre des représentants prononce sa dissolution le afin de permettre la tenue d'élections législatives fédérales anticipées le [9]. Dans la perspective de ce scrutin, Alexander De Croo indique être candidat au Sénat[10]. Il remporte 301 917 voix préférentielles, soit le troisième meilleur résultat néerlandophone et belge, derrière Bart De Wever et Marianne Thyssen[11].

Ministre fédéral[modifier | modifier le code]

Sous Elio Di Rupo[modifier | modifier le code]

Lors des élections communales du 14 octobre 2012, Alexander De Croo se présente en tête de liste à Brakel, ville de la province de Flandre-Orientale dont son père est bourgmestre depuis 12 ans ; avec 2 202 voix, il réalise un résultat personnel plus élevé qu'Herman De Croo[12]. Alors qu'il s'engage dans un premier temps à exercer son maïorat et à ne pas entrer au gouvernement, il accepte finalement quatre jours plus tard d'être le successeur au fédéral de Vincent Van Quickenborne en qualité de vice-Premier ministre et ministre fédéral des Pensions, ce dernier ayant été élu bourgmestre de Courtrai[13]. Il est assermenté le [14]. Il prête le comme bourgmestre, mais cède aussitôt ses fonctions à Stefaan Devleeschouwer en raison de son empêchement[15].

Ayant cédé le suivant la présidence de l'Open VLD à son ancienne concurrente de Gwendolyn Rutten[16], il est choisi en comme tête de liste en Flandre-Orientale pour les élections législatives fédérales du 25 mai suivant[17]. À l'occasion de ce scrutin, il est élu à la Chambre des représentants avec 78 073 votes préférentiels, soit le meilleur score de sa circonscription, le deuxième score de l'Open VLD, le troisième score flamand et le quatrième score belge après Bart De Wever, Elio Di Rupo et Maggie De Block[18].

Sous Charles Michel et Sophie Wilmès[modifier | modifier le code]

Après la conclusion d'un accord de coalition « suédoise » unissant le Mouvement réformateur (MR), la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA), l'Open VLD et les Christen-Democratisch en Vlaams (CD&V) sous la houlette du libéral francophone Charles Michel, Alexander De Croo est reconduit au gouvernement fédéral le aux postes de vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Coopération au développement, de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste[19].

Il se représente au maïorat de Brakel au cours des élections du 14 octobre 2018, mais il échoue dans sa tentative de conserver son mandat : avec 2 938 voix de préférence, Stefaan Devleeschouwer réalise en effet le meilleur score personnel de la liste libérale, ce qui conduit à son élection en tant que bourgmestre[20]. Avec le départ de la N-VA de la coalition gouvernementale, le gouvernement Michel II est constitué le suivant : toujours vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Coopération, Alexander De Croo hérite également du portefeuille des Finances, tandis que toutes ses autres compétences reviennent à Philippe De Backer[21].

Aux élections législatives fédérales du 26 mai 2019, alors que le gouvernement est en affaires courantes, Alexander De Croo obtient un nouveau mandat à la Chambre des représentants après avoir recueilli 80 283 votes personnels, réalisant de nouveau le meilleur résultat dans la province de Flandre-Orientale[22]. Quand Charles Michel quitte ses fonctions pour devenir président du Conseil européen, il est remplacé le suivant par Sophie Wilmès, qui confirme l'intégralité des ministres fédéraux[23].

En raison de la pandémie de Covid-19, il redevient le ministre de plein exercice dans le cadre d'un accord permettant à Sophie Wilmès de disposer des pouvoirs spéciaux pendant six mois[24]. Il devient le suivant premier vice-président de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten, sous la présidence d'Egbert Lachaert, qui remporte d'ailleurs moins de suffrages que le ministre fédéral des Finances[25].

Co-formateur avec Paul Magnette[modifier | modifier le code]

Le , alors que l'État belge est toujours sans gouvernement issu des urnes depuis 486 jours, Alexander De Croo est désigné formateur en binôme avec le socialiste francophone Paul Magnette par le roi Philippe. Ils sont ensemble chargés de constituer le prochain gouvernement fédéral en associant sept partis, le PS, les CD&V, l'Open VLD, le MR, le sp.a, Ecolo et Groen dans une configuration appelée « Vivaldi »[26]. Attendus au palais royal cinq jours plus tard pour rendre compte définitivement de leurs travaux, ils ne remettent au monarque qu'une note intermédiaire ; le chef de l'État leur demande alors d'achever les négociations dans les plus brefs délais[27].

Un accord de coalition est conclu le après une nuit entière de négociations, qui prévoit qu'Alexander De Croo devienne Premier ministre de Belgique[28]. Lors de la conférence de presse qui suit la remise par les co-formateurs de leur note de gouvernement au roi, Paul Magnette explique sur le ton de l'humour que tous deux ont joué la direction de l'exécutif à pile ou face et que la victoire est revenue à son partenaire[29].

Premier ministre[modifier | modifier le code]

Nomination et investiture[modifier | modifier le code]

Le , Alexander De Croo prête serment devant le roi Philippe, après que ce dernier a acté la démission de Sophie Wilmès et l'a nommé Premier ministre[30].

Il prononce plus tard dans la journée sa déclaration de politique générale devant la Chambre des représentants, exceptionnellement réunie dans l'hémicycle bruxellois du Parlement européen afin de respecter les règles de distanciation physique imposées par la pandémie de Covid-19. Son programme prévoit notamment une pension de retraite minimale de 1 500 euros par mois, l'embauche de personnel médical, le doublement de la durée du congé de naissance à 20 jours, des investissements à hauteur de 4,7 milliards d'euros dans la transition écologique et numérique, le maintien du calendrier de sortie du nucléaire civil, une nouvelle réforme de l'État, le recrutement de 1 600 nouveaux agents de la Police fédérale[31]. La composition de son gouvernement, qui fait la part belle à des personnalités issues de dynasties politiques, a soulevé des critiques[32].

Lors du vote de confiance le , le gouvernement De Croo reçoit l'investiture de la Chambre par 87 voix pour, 54 voix contre et 7 abstentions. Bien qu'exclu du Parti socialiste, Emir Kir soutient le nouvel exécutif, de même que Hendrik Bogaert (CD&V), opposé à la participation gouvernementale de sa formation. Le Centre démocrate humaniste (cdH) et Démocrate fédéraliste indépendant (DéFI) font le choix de l'abstention, indiquant vouloir laisser sa chance à la nouvelle équipe. Votent contre les nationalistes flamands de la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA), l'extrême droite du Vlaams Belang (VB), et la gauche radicale du Parti du travail de Belgique (PTB/PvdA)[33].

Exercice du pouvoir[modifier | modifier le code]

Politique sanitaire[modifier | modifier le code]

Fin octobre, la Belgique fait face à une seconde vague de contamination au Covid-19. En réaction à cette évolution, le gouvernement De Croo met en place de nouvelles mesures sanitaires[34].

Écologie et énergie[modifier | modifier le code]

L'exécutif décide en de limiter, à partir de 2026, la déduction fiscale accordée aux entreprises pour l'acquisition de leur flotte automobile aux seules voitures électriques, afin d'atteindre notamment l'objectif européen de mettre fin aux ventes de voitures thermiques en 2035[35].

En , dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le gouvernement décide de prolonger deux réacteurs nucléaires au-delà de 2025, afin de préserver la sécurité d'approvisionnement au niveau énergétique. La ministre fédérale de l'Énergie, Tinne Van der Straeten, est chargée d'engager les négociations afin de mettre en place cette décision[36]. En parallèle, la coalition maintient sa volonté d'augmenter le plus possible la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique, en investissant dans l'éolien off-shore et en formant une île artificielle en mer du Nord pour relier l'ensemble des parcs éoliens au large et produire et stocker de l'hydrogène[37]

Politique sociale[modifier | modifier le code]

Le gouvernement adopte en février 2022 une loi de flexibilisation du marché du travail : les salariés auront la possibilité, à condition que leur entreprise accepte, de passer à la semaine de quatre jours. En contrepartie, leurs journées de travail seront prolongées, pour une durée de 9h 30 (correspondant à une semaine de 38 heures). La loi flexibilise par ailleurs les horaires entre 20 heures et minuit, qui ne seront plus assimilés à du travail de nuit et n’ouvriront droit à aucune contrepartie[38].

Défense et diplomatie[modifier | modifier le code]

Le gouvernement souhaite à partir de 2022 porter les dépenses militaires à 2 % du PIB afin de se conformer aux demandes de l'OTAN et du gouvernement américain, ce qui suscite des tensions au sein de sa coalition. La droite soutient ce projet mais les écologistes s'y opposent, estimant que le gouvernement devait avoir d'autres priorités que l'armée, alors que les socialistes restent indécis[39].

Du point de vue diplomatique, l'exécutif fait une grande avancée du point de la reconnaissance des blessures commises par le régime colonial. Le gouvernement crée, à l'issue du rapport de la commission compétente, un cadre légal permettant la restitution d'œuvre au Congo[40]. Par ailleurs, en , le roi Philippe présente ses plus profonds regrets et se rend, avec une délégation gouvernementale, au Congo pour une visite historique d'État de 6 jours au cours de laquelle sont restituées plusieurs œuvres, provenant de l'héritage colonial[41].

Économie[modifier | modifier le code]

Le gouvernement doit affronter les critiques pour sa gestion de l'économie, alors que le déficit public atteint 5,9 % du PIB en 2023 et la dette 108,2 %[42].

Décorations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Fabien Van Eeckhaut, « Alexander De Croo futur Premier ministre: le "fils de" qui a su se faire un prénom », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. (nl) Anton Schelfaut, « Pornoactrice: “De Belgische premier bood me 4.000 euro om twee uur met hem door te brengen” », (consulté le )
  3. « Alexander De Croo », sur www.senate.be (consulté le )
  4. « Qui est Alexander De Croo, notre nouveau Premier ministre issu du monde de l’entreprise? », Sudinfo.be,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « Alexander De Croo élu à la présidence de l'Open Vld avec 54,95% des voix », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. (nl) « Open VLD kiest met Alexander De Croo voor avontuur », De Standaard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « L’Open VLD quitte le gouvernement », Vlaamse Radio- en Televisieomroeporganisatie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Démission de Leterme II: l'Open VLD montré du doigt », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. « Belgique : élections législatives anticipées le 13 juin », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. « Alexander De Croo, tête de liste au Sénat pour l'Open Vld », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. « Sénat : Hit parade des candidats », sur elections2010.belgium.be (consulté le ).
  12. « Elections à Brakel : Herman De Croo passe le relais à son fils Alexander », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Alexander De Croo, vice-Premier ministre et ministre des Pensions », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Alexander De Croo nommé ministre des Pensions », Vlaamse Radio- en Televisieomroeporganisatie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « Deux ministres fédéraux prêtent serment comme bourgmestres », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Gwendolyn Rutten élue présidente de l’Open Vld », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Mathias De Clercq et Alexander De Croo têtes de liste en Flandre orientale », 7sur7,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Chambre : Hit parade des candidats », sur elections2014.belgium.be (consulté le ).
  19. « Le gouvernement Michel a prêté serment », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Alexander De Croo ne sera pas bourgmestre dans sa commune », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Le Roi a accepté la démission des ministres et secrétaires d'Etat N-VA: voici le nouveau casting du gouvernement », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Chambre : Hit parade des candidats », sur elections2019.belgium.be (consulté le ).
  23. « Sophie Wilmès a été nommée Première ministre par intérim par le Roi », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Le Parlement accorde sa confiance au gouvernement Wilmès II », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. « Présidence de l’Open Vld: Alexander De Croo premier vice-président des libéraux flamands », Sudinfo.be,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Paul Magnette et Alexandre De Croo désignés co-formateurs », BX1,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. Joyce Azar, « Le roi accorde du temps supplémentaire aux formateurs: les discussions budgétaires se poursuivent », Vlaamse Radio- en Televisieomroeporganisatie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « La Vivaldi a un accord de gouvernement et un Premier ministre », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « De Croo premier ministre : « On a tiré à pile ou face : c’est tombé sur Alexander et c’est un très bon choix » », Sudinfo.be,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Le nouveau gouvernement De Croo a prêté serment », BX1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Coronavirus, soins de santé, pensions : voici la déclaration de politique générale du Premier ministre », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « En Belgique, la politique est une affaire de famille », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  33. « Le gouvernement De Croo a obtenu sans surprise la confiance de la Chambre », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_le-premier-ministre-a-la-chambre-adapter-les-protocoles-sanitaires-et-attendre-l-effet-des-mesures-prises-la-semaine-derniere?id=10615023
  35. « 2026 : les voitures de société 100 % électriques - Moniteur Automobile », sur www.moniteurautomobile.be (consulté le )
  36. « Accord sur la prolongation de deux réacteurs nucléaires: «On sécurise le présent et on investit dans l’avenir», les détails complets de l’accord », sur sudinfo.be, (consulté le )
  37. « La Belgique devrait avoir son île énergétique en mer du Nord avant le Danemark », sur Business AM - Infos économiques et financières, (consulté le )
  38. « La Belgique s’invente une semaine de quatre jours à sa façon », sur Courrier International,
  39. « En Belgique, les écologistes opposés à l’augmentation des dépenses militaires », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  40. Le Vif, « Congo: un cadre juridique pour la restitution des œuvres », sur Le Vif, (consulté le )
  41. « Visite du roi des Belges en RD Congo : un déplacement scruté de près », sur euronews, (consulté le )
  42. « Belgique : la coalition du libéral Alexander De Croo sous le feu des critiques », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  43. https://media.gettyimages.com/id/1258889970/photo/state-visit-of-the-king-willem-alexander-and-the-queen-maxima-to-belgium-day-1.jpg?s=2048x2048&w=gi&k=20&c=plAgbFd-Yt4v9YXt1stiEwnxOHh4U49TEA-AzU05NV8=

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]