Évocation — Wikipédia

Droit[modifier | modifier le code]

  • En droit canadien, « l’évocation peut s’entendre de deux choses. Premièrement, elle renvoie à la décision d’un tribunal supérieur de se saisir d’une affaire qui est normalement de la compétence d’un tribunal inférieur, afin d’en connaître. Deuxièmement, en vertu de son pouvoir de surveillance et de contrôle, elle renvoie à la décision d’un tribunal supérieur d’appeler à lui une affaire déjà jugée afin de se prononcer sur la légalité des actes posés et des décisions rendues »[1].
  • En droit français, l'évocation est le pouvoir de la Cour d'appel de statuer à la fois sur l'incident et sur le fond du litige quand elle se trouve saisie de certains jugements de première instance[2].

Psychologie[modifier | modifier le code]

  • En psychologie, l'évocation d'un objet réel (objet de perception), c'est lui donner une existence mentale de façon consciente.

Autres[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]