Échemiré — Wikipédia

Échemiré
Échemiré
La mairie.
Blason de Échemiré
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Canton Baugé
Commune Baugé-en-Anjou
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Jérôme Pinson
2020-2026
Code postal 49150
Code commune 49128
Démographie
Gentilé Échemiréen
Population 595 hab. (2013)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 08″ nord, 0° 10′ 02″ ouest
Altitude 63 m
Min. 33 m
Max. 101 m
Superficie 16,98 km2
Historique
Fusion 1er janvier 2016
Commune(s) d'intégration Baugé-en-Anjou
Localisation
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Échemiré
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Échemiré
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Échemiré
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Échemiré

Échemiré est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Le , elle prend le statut administratif de commune déléguée de la nouvelle commune de Baugé-en-Anjou de statut administratif commune nouvelle[1].

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, à l'ouest de la ville de Baugé.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans le Baugeois, à l'ouest de Baugé, sur la route D 766 qui va de Jarzé à Baugé[2].

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par les vallée de l'Authion et de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 33 à 101 mètres[4], pour une altitude moyenne de 67 mètres, et s'étend sur près de 17 km2 (1 698 hectares)[4].

Son territoire se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[5]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Une partie de la commune comporte une zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour la zone de la cavité souterraine de La Barangerie[7].

Climat[modifier | modifier le code]

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[6].

Aux alentours[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont Sermaise (4 km), Le Vieil-Baugé (4 km), Jarzé (5 km), Baugé (5 km), Cheviré-le-Rouge (5 km), Montpollin (6 km), Saint-Martin-d'Arcé (6 km), Beauvau (7 km), Fontaine-Guérin (7 km) et Saint-Georges-du-Bois (7 km)[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 272 logements sur la commune d'Échemiré, dont 88 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 74 % des ménages en étaient propriétaires[9]. En 2013, on trouvait 264 logements sur la commune, dont 88 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 74 % des ménages en étaient propriétaires[10].

Toponymie et héraldique[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : Curtis Aschimiriaci en 1060, Gedeon de Eschimiriaco en 1077, Schimiriacus en 1094, Chimiriacus en 1174, parochia de Chemiré en 1225[11], Eschemiré en 1793, Echemiré en 1801 avant de devenir Échemiré[12],[13].

Nom des habitants : Les Échemiréens[14].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D'or, a deux chênes arrachés de sinople posés en chef et un sanglier de sable en pointe, chargé en cœur d'un écu de sable à la bande fuselée d'argent[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Présence de vestiges d'une occupation préhistorique : trois haches en pierre polie, présence de plusieurs monuments mégalithiques[16], comme l'ensemble mégalithique dit La Pierre du Coq[17].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Vers 862, les moines de Glanfeuil fuient les raids vikings et emportent les reliques de Saint-Maur à Échemiré. Ils y résident quelques jours avant de se remettre en route vers le pays de Séez[18].

Au XIe siècle le château enveloppe entièrement l'église[16].

En 1304, les Templiers, gouvernés par le maître du Temple Hugues de Marcé, avaient des vignes à Échemiré. Elles se situaient dans le clos de La Hoire.

En mars 1363 pendant la Guerre de Cent Ans, le chevalier Jean de la Haye d'Échemiré, seigneur dudit lieu, trahit la France en compagnie du chevalier de la Prézaye, seigneur de Jarzé. Ils s'allient aux troupes anglaises qui ravagent l'Anjou. La prise du château de Villevêque est l'un de leurs faits d'armes. Ils continuent de piller la région et se font chasser vers la mi-avril de la même année[19]. Louis Ier d'Anjou, donne la totalité de leurs biens en juillet suivant, au chevalier Pierre d'Avoir, chambellan du roi, gouverneur du bailliage de Touraine et sénéchal d'Anjou[16].

Au XVe siècle le Roi René, qui aime venir chasser dans les forêts de la région, fait reconstruire le château de Baugé.

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, du diocèse d'Angers et de l'archiprêtré du Lude[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la réorganisation administrative accompagnant la Révolution, en 1790 la commune est rattachée au canton de Jarzé, puis à celui de Baugé[16]. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[12].

En Décembre 1793, les Vendéens de la Grande armée catholique et royale s'installent à Baugé, pillent Échemiré et y affrontent le Général républicain Westermann. Durant cette courte période, la cloche de la chapelle de la terre de Mincé est emportée par les royalistes et transportée à Trémentines[20]. Elle n'est retrouvée qu'en 2021[21],[22].

En 1837, la commune de Rigné est intégrée à Échemiré.

En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle au 1er janvier de l'année suivante[23]. L'arrêté préfectoral est signé le 10 juillet et porte sur la création au de la commune nouvelle de « Baugé-en-Anjou », groupant les communes de Baugé-en-Anjou, Bocé, Chartrené, Cheviré-le-Rouge, Clefs-Val d'Anjou, Cuon, Échemiré, Fougeré, Le Guédeniau et Saint-Quentin-lès-Beaurepaire[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Échemiré constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 en cours Jérôme Pinson[24],[25]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

La commune est créée à la Révolution. Commune en 1790[12]. Le conseil municipal est composé de quinze élus[26].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mars 2008 Raymond Vincelot   Retraité
mars 2008 mars 2014 Alain Chaslerie   Retraité
mars 2014 décembre 2015 Jérôme Pinson[27],[28]    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune ne comporte pas de jumelage[29].

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était intégrée à la Communauté de communes du canton de Baugé. Créée en 1994[30], cette structure intercommunale regroupait les dix communes du canton, dont Cuon, Bocé et Le Vieil-Baugé[31]. Elle avait pour objet d’associer des communes au sein d’un espace de solidarité, en vue de l’élaboration d’un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace[32].

La communauté de communes était membre du pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire. Le syndicat mixte du Pays des Vallées d'Anjou (SMPVA) regroupe six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, canton de Baugé, canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué, Portes-de-l'Anjou[33].

Autres administrations[modifier | modifier le code]

Conseil de développement du pays des vallées d'Anjou (CDPVA), syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement de l’agglomération baugeoise, syndicat mixte intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou (SIVERT), syndicat intercommunal pour l'aménagement du Couasnon (SIAC)[34].

Le SIVERT est le syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[35].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2015, Échemiré fait partie du canton de Baugé et de l'arrondissement de Saumur[36]. Ce canton compte alors les dix mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[37].

Échemiré fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons dont Longué-Jumelles et Noyant. La troisième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 595 habitants, en augmentation de 0,85 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
603588651618740854805790805
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
771827801768758784737728717
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
693677595559552544616639581
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2013 -
530466462491466577593595-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 49,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,6 %, 15 à 29 ans = 14 %, 30 à 44 ans = 24,6 %, 45 à 59 ans = 18,6 %, plus de 60 ans = 18,3 %) ;
  • 50,6 % de femmes (0 à 14 ans = 22,3 %, 15 à 29 ans = 19,2 %, 30 à 44 ans = 17,5 %, 45 à 59 ans = 22,3 %, plus de 60 ans = 18,8 %).
Pyramide des âges à Échemiré en 2008 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90  ans ou +
0,0 
5,3 
75 à 89 ans
6,8 
12,3 
60 à 74 ans
12,0 
18,6 
45 à 59 ans
22,3 
24,6 
30 à 44 ans
17,5 
14,0 
15 à 29 ans
19,2 
24,6 
0 à 14 ans
22,3 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[43].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Services publics présents sur la commune : mairie, école maternelle et primaire, avec cantine, garderie périscolaire. D'autres services publics se trouvent à Baugé, dont le collège, l'hôpital intercommunal et le centre de secours[34].

Outre les services publics, on trouve plusieurs commerces et artisans sur la commune : boulangerie, hôtel restaurant, commerce de fruits et légumes, etc.

La plupart des structures de santé se trouvent à Baugé, dont l'hôpital local, l'hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (95 places), et plusieurs maisons de retraite[44].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Baugé. La déchèterie intercommunale se situe sur la commune de Saint-Martin-d'Arcé[35].

Économie[modifier | modifier le code]

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Commune principalement agricole, en 2008, sur les 35 établissements présents sur la commune, 43 % relevaient du secteur de l'agriculture[45]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 42 établissements présents, 36 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 17 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 29 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[9].

Sur 35 établissements présents sur la commune à fin 2013, 34 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 20 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Liste des appellations présentes sur le territoire[46] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton,
  • IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La commune d'Échemiré comporte plusieurs inscriptions à l'inventaire du patrimoine[47], dont deux monuments historiques[48].

  • Église paroissiale Saint-Martin, des XIIe, XIIIe et XIXe siècles, Monument historique classé le (PA00109094), pour les chevet, transept avec ses deux absidioles, clocher central.
  • Ensemble mégalithique dit La Pierre du Coq, au lieu-dit Bois des Moulinés, du Néolithique (préhistoire), Monument historique classé le (PA00109095)[49].
  • Château la Grifferaie, du XIXe siècle, Inventaire général.
  • Château la Roussière, du XIXe siècle, Inventaire général.
  • Logis seigneurial le Haut-Mincé, des XIe, XVe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général[50],[20],[22],[21].
  • Plusieurs fermes, maisons et manoirs, des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général.
  • Fours à briques, tuiles et chaux, du XVIIe siècle, Inventaire général.
  • Plusieurs moulins, des XVIIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général.
  • Oratoire Notre-Dame dit Chapelle Notre-Dame, des XVIIe et XVIIIe siècles, Inventaire général.
  • Presbytère, des XVIIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général.
  • Prieuré de Bénédictins Saint-Bibiendes, des XIe, XVe et XVIIIe siècles, Inventaire général.
  • Cloche Barbe de Mincé, de 1738, inscrite au titre objet des Monuments historiques par la commune de Trémentines en 1982[51].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 96-98.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676, lire en ligne), p. 95-97.
  • Notes historiques sur Échemiré et Rigné : manuscrit de l’abbé Michel-Louis Cottereau – 1860, dans Les Cahiers du Baugeois, Numéro double 121-122, 2020[52].
  • Julien Daïffi, Échemiré : Lieux et monuments, 2021[20].
  • Julien Daïffi, Mincé : Un logis seigneurial millénaire du Baugeois et sa cloche de Sainte-Barbe, symbole de la mémoire des martyrs de la Vendée militaire, 2023[22].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Arrêté no DRCL-2015-525 du 10 juillet 2015 portant création de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 47,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. IGN et BRGM, Géoportail Échemiré (49), consulté le 15 avril 2012.
  3. Paul Wagret, Jacques Boussard, Jacques Levron et Simone Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, (BNF 31614504), p. 10.
  4. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  5. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  7. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 5 juillet 2011.
  8. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Échemiré (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 15 avril 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  9. a et b Insee, Statistiques locales du territoire d'Échemiré (49), consultées le 3 février 2013.
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire d'Échemiré (49), consultées le 20 juillet 2016.
  11. Célestin Port 1876, p. 95-97 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  12. a b et c EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Échemiré, consultée le 8 juillet 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  13. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 76.
  14. C.C. du canton de Baugé, Commune d'Échemiré, consulté le 15 avril 2012.
  15. Armorial des communes de Maine-et-Loire, Le blason des communes de l'Anjou de Gérard Byron-Clouzard.
  16. a b c d et e Célestin Port 1978, p. 96-98.
  17. « Ensemble mégalithique dit La Pierre du Coq », notice no PA00109095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. École Nationale des Chartes (Paris), Bibliothèque de l'Ecole des Chartes : revue d'érudition, Droz, (lire en ligne)
  19. Bénédicte Fillion-Braguet, « Le château de Villevêque (Maine-et-Loire) », Trésors de la collection Daniel Duclaux (1910-1999) sous la direction de Patrick Le Nouëne. Angers, Musée des Beaux-Arts.,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. a b et c Julien Daïffi, Échemiré: Lieux et Momuments, Independently Published, (ISBN 979-8-5304-5460-8, lire en ligne)
  21. a et b « Bauge-en-Anjou, votre magazine N°22 », sur calameo.com (consulté le )
  22. a b et c « Maine-et-Loire. Deux communes se disputent une cloche disparue pendant la Révolution de 1793 », sur angers.maville.com (consulté le )
  23. Le Courrier de L'Ouest, « Feu vert à la création de la commune nouvelle : les résultats du vote », sur courrierdelouest.fr, .
  24. « Conseillers communaux », sur Mairie de Baugé-en-Anjou (consulté le ).
  25. « Baugé-en-Anjou. Municipales : les quinze maires délégués élus en 2020 », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  26. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  27. Le Courrier de l'Ouest, Jerôme Pinson, nouveau maire de la commune, article du 31 mars 2014.
  28. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 23 avril 2014.
  29. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  30. Arrêté préfectoral no D3-94-932 du 23 décembre 1994 portant création de la Communauté de communes du canton de Baugé.
  31. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012361-0003 portant modification des statuts de la Communauté de Communauté du Canton de Baugé, du 26 décembre 2012.
  32. Statuts de la Communauté de communes du canton de Baugé, Arrêté préfectoral no 2007-107, du 9 mai 2007.
  33. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012354-0007 portant modification des statuts du Syndicat Mixte du Pays des Vallées d'Anjou, du 19 décembre 2012.
  34. a et b C.C. du canton de Baugé, Communauté de communes, consultée le 7 juillet 2011.
  35. a et b SIVERT, C.C. canton de Baugé, consulté le 20 décembre 2010.
  36. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Échemiré, consultée le 21 février 2015.
  37. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  38. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
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  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
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